« J’ai dit que l’on me brûle et que l’on me livre cendre morte à l’ombre du ventre défait/ comme ces restes d’homme qui par milliers se noient sous le lagon au crépuscule d’un matin sans brumes ».
Une poétique du « land of loose » : images et non-dits d’un peuple défait.
Histoire d’un cousin disparu, d’un pays de cadavres-debout, d’un archipel à la dérive. Un récit tout en frangments, écrit depuis l’entrée nord du canal de Mozambique, au rythme de l’idumbio – tradition comorienne de la complainte de deuil – en hommage aux victimes du tristement célèbre Visa Balladur.
Très émouvant , un texte riche et image et l'artiste signe son sermon ! Chapeau Cher Elbadawi ! Nabahane Abdou El-Wareth
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Très émouvant , un texte riche et image et l'artiste signe son sermon ! Chapeau Cher Elbadawi ! Nabahane Abdou El-Wareth
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