Dans la ville portuaire de Gloucester, Massachusetts, Jacob Brackish, professeur de musicologie à la retraite, est contraint d’engager Kathleen Hogan comme employée de maison. La rencontre de ces deux solitudes va provoquer un affrontement drôle et acerbe qui fera tomber les masques et mettra chacun face à sa vérité.
Une pièce riche en émotions qui montre que les plus beaux accomplissements arrivent parfois lorsqu’on a perdu tout espoir et délivre avec force et humour un grand message d’humanité.
« Se dégage de cette écriture conçues, directe, une grande humanité. Soulignée par l'interprétation émouvante des deux comédiens. (…) La mise en scène dépouillée de Caroline Darnay cerne bien l'humour, l'étrangeté, la noirceur de ce théâtre. Un spectacle séduisant. » Jacques Valet, Le Canard enchaîné, 15 avril 2015
« Un véritable hymne à la vie qui restera pour longtemps gravé dans votre palpitant. » France 3 – Culturebox
« Un très beau voyage mis en scène avec beaucoup de grâce et d'émotion et dont l'histoire nous bouleverse. » Spectacles.première
« Les deux comédiens ont visé juste, le cœur. » Le Journal du Dimanche
« Un drame plein d'humanité et de tendresse que la performance inouïe des comédiens rend particulièrement émouvant. » Les Trois Coups
« Dans Opus Coeur, le rire et l'émotion font bon ménage. » Froggy's delight
« Rire et émotion étreignent le cœur du spectateur. » La Vie
« Le duo est interprété par le grand homme de théâtre, Marcel Maréchal et la talentueuse comédienne, Nathalie Newman, qui participent à la réussite de cette pièce qui délivre l'indispensable message d'espoir universel. » Actualité Juive
« Quelle belle leçon d'humanité à laquelle nous assistons là ! (...) Allez-y et plutôt deux fois qu'une. » Théâtrauteurs
« C'est beau, drôle et émouvant. » Paris Sur Scène
« Entrer dans l’univers d’Israël Horovitz, c’est un rêve qui se réalise. D’abord, disons-le, cet homme est une légende : l’auteur dramatique (ou écrivain de théâtre, selon son expression) américain contemporain le plus joué en France, l’ami personnel d’Anouilh, de Beckett et de Vaclav Havel, l’homme qui a fait gagner son premier prix d’interprétation à Al Pacino, celui, enfin, à propos duquel Eugène Ionesco a eu cette phrase savoureuse : « Horovitz est à la fois réaliste et sentimental. Je vous laisse donc imaginer à quel point il peut être féroce. » Il y a ces trois qualités dans Opus Coeur : un réalisme poétique, une sentimentalité bourrue et une férocité viscérale. Dans l’une de ses pièces les plus optimistes, Horovitz envoie un bien revigorant message d’espoir : rien n’est jamais fini.
Et pourtant, le point de départ de la pièce n’incite pas à la gaité : Jacob Brackish, qui se sait condamné, est contraint d’engager Kathleen Hogan pour prendre soin de lui pendant ses derniers mois. Ils sont tous les deux passés à côté de leur vie et n’espèrent plus rien. Mais Brackish est encore bien vivant, mais Kathleen a ses raisons pour s’installer chez lui, mais ces deux personnages que tout sépare vont se livrer à un face à face à la fois drôle et poignant qui apportera la preuve que les plus grands accomplissements arrivent parfois quand on a perdu tout espoir.
Brackish était professeur, Kathleen a raté ses études ; Brackish est célibataire, Kathleen est veuve ; la vie de Brackish touche à sa fin, celle de Kathleen ne fait peut-être que commencer ; entre eux, il est question d’éducation, de musique, de travail, d’amours malheureux et de relations humaines compliquées, de transmission et de changements de vie. C’est peu de dire que nous vivons actuellement des temps où l’éducation est mise à mal et où la solitude ne cesse de gagner du terrain. Alors, laissez ces deux personnages délivrer l’indispensable message d’espoir universel qu’au plus profond de la crise, le salut se trouvera encore et toujours dans l’humanité et dans la connaissance.
À la différence des précédents spectacles de la compagnie Calliopé Comédie qui se situaient en France au XIXème siècle, celui-ci vous entraîne aux Etats-Unis, dans la ville portuaire de Gloucester, Massachusetts, dans les années 1990. J’ai hâte de vous faire rencontrer Jacob Brackish et Kathleen Hogan, ils ont un bel Opus à vous jouer. »
Caroline Darnay
20 rue de la liberté 94102 Saint-Maur-des-Fossés
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