Une femme noire qui voyage seule est-elle courageuse ? L’autrice Penda Diouf prend le prétexte de l’autofiction pour révéler la grande histoire oubliée de la Namibie. En creux du récit de son road-trip, les exactions de la colonisation allemande se dessinent. À partir de 15 ans.
À partir de 15 ans.
Il y a la Namibie, où le désert de sable rouge reste la seule tombe, la seule plaque commémorative des corps des Herero et des Namas tombé·es sous le joug allemand.
Dans une analyse implacable, Penda Diouf part de ses propres questionnements pour éclairer ce qu’elle trouve enfouie sous le sable rouge du désert. Au fil d’une épopée intime et historique, portée par une poésie viscérale, elle affronte ses démons et ses rêves et panse ses cicatrices. En décortiquant un système oppressif, l’autrice trouve d’étranges résonances avec l’Histoire de France. Un seul en scène qu’incarne l’artiste touche-à-tout Nan Yadji Ka-Gara.
Penda Diouf est magnifique. Elle sait tenir son auditoire. L’histoire de la Namibie est révélée de très belle façon. Son vécu à l’école est riche d’enseignements. Je regrette un peu la scène finale qui tirait un peu en longueur. Mais c’est un détail au vu de la globalité du spectacle.
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Penda Diouf est magnifique. Elle sait tenir son auditoire. L’histoire de la Namibie est révélée de très belle façon. Son vécu à l’école est riche d’enseignements. Je regrette un peu la scène finale qui tirait un peu en longueur. Mais c’est un détail au vu de la globalité du spectacle.
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