Vénus ne souffre pas l’ombre qui lui est faite par la jeune Psyché, simple mortelle, enchanteresse des cœurs. La belle est aussi jalousée par ses propres sœurs, délaissées par deux princes fascinés par la seule Psyché.
Pour faire souffrir cette rivale, la déesse de la Beauté exige de son fils, l’Amour, de se faire aimer d’elle sans retour. Peine perdue. Les deux jeunes gens tombent éperdument amoureux, suscitant l’ire de Vénus, mère sacrifiant, pour sa propre vengeance, le bonheur d’un fils…
De la terre au palais céleste que lui construit l’Amour, des Enfers où l’on voit Vénus à l’Olympe où Jupiter lui offre l’immortalité, Psyché nous entraîne dans un voyage fantastique aux confins du théâtre et de la musique.
« On est conquis au final par cet hymne à l’amour fantasque. » Philippe Chevilley, 12 Les Echos, décembre 2013
En 1671, Molière écrit Psyché, première œuvre qualifiée de « tragédie-ballet ». À la demande de Louis XIV pour qui il vient de créer Le Bourgeois gentilhomme, Molière ne dispose que de sept semaines pour livrer une pièce fêtant la réouverture de la salle des Machines du palais des Tuileries. L’aide de Corneille – auteur de 1100 vers – lui est précieuse. Cette collaboration n’est attestée que pour cette pièce, également signée de Quinault pour les paroles chantées.
Peu après les adaptations par Donneau de Visé (1670) et par La Fontaine (1669) de la fable d’Apulée dans ses Métamorphoses, Molière et Corneille reprennent le thème de Psyché dans une production spectaculaire, convoquant dieux, nymphes, sylvains, naïades et plus de cent quatre-vingts danseurs et musiciens pour les intermèdes musicaux et chorégraphiques devant la Cour.
Psyché marque cependant la fin de la collaboration entre Lully et Molière, qui meurt deux ans plus tard. Ce spectacle, l’un parmi les plus éblouissants de Molière sombre ensuite dans l’oubli, réapparaissant plus fréquemment à l’opéra qu’au théâtre.
Oublié Lully et les fastes un peu compassés de l'opéra baroque , Véronique Vella choisit de rendre Psyché au théâtre en lui offrant, sans rien sacrifier aux sortilèges de l'alexandrin, les multiples facettes de la comédie musicale, et c'est une merveille d'intelligence, de goût, d''humour et d'émotion. Bravo à la musique de Vincent Leterme, que l'on aimerait emporter avec soi en quittant le théâtre et au talent polymorphe des acteurs.
Oublié Lully et les fastes un peu compassés de l'opéra baroque , Véronique Vella choisit de rendre Psyché au théâtre en lui offrant les multiples facettes de la comédie musicale, et c'est une merveille d'intelligence, de goût, d''humour et d'émotion. Bravo à la musique de Vincent Leterme, que l'on aimerait emporter avec soi en quittant le théâtre et au talent polymorphe des acteurs.
Oublié Lully et les fastes un peu compassés de l'opéra baroque , Véronique Vella choisit de rendre Psyché au théâtre en lui offrant les multiples facettes de la comédie musicale, et c'est une merveille d'intelligence, de goût, d''humour et d'émotion. Bravo à la musique de Vincent Leterme, que l'on aimerait emporter avec soi en quittant le théâtre et au talent polymorphe des acteurs.
Superbe recherche de style. Du renouveau qui interpelle le public. Grands acteurs au talent multiple. A voir.
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Oublié Lully et les fastes un peu compassés de l'opéra baroque , Véronique Vella choisit de rendre Psyché au théâtre en lui offrant, sans rien sacrifier aux sortilèges de l'alexandrin, les multiples facettes de la comédie musicale, et c'est une merveille d'intelligence, de goût, d''humour et d'émotion. Bravo à la musique de Vincent Leterme, que l'on aimerait emporter avec soi en quittant le théâtre et au talent polymorphe des acteurs.
Oublié Lully et les fastes un peu compassés de l'opéra baroque , Véronique Vella choisit de rendre Psyché au théâtre en lui offrant les multiples facettes de la comédie musicale, et c'est une merveille d'intelligence, de goût, d''humour et d'émotion. Bravo à la musique de Vincent Leterme, que l'on aimerait emporter avec soi en quittant le théâtre et au talent polymorphe des acteurs.
Oublié Lully et les fastes un peu compassés de l'opéra baroque , Véronique Vella choisit de rendre Psyché au théâtre en lui offrant les multiples facettes de la comédie musicale, et c'est une merveille d'intelligence, de goût, d''humour et d'émotion. Bravo à la musique de Vincent Leterme, que l'on aimerait emporter avec soi en quittant le théâtre et au talent polymorphe des acteurs.
Superbe recherche de style. Du renouveau qui interpelle le public. Grands acteurs au talent multiple. A voir.
Place Colette 75001 Paris