« Je vous souhaite d'être follement aimé ». Fidèle à l'écriture poétique de Shakespeare, les Chiens Andalous vous proposent aujourd'hui une version moderne, violente, frénétique et électrique du drame des amants de Vérone.
Et si vous vous laissiez glisser dans le piège de la reine Mab ? Si vous la laissiez-vous entrainer dans un rêve. Ce rêve que tout le monde pourrait faire, que chacun a eu, hier ou il y a longtemps, que l’on faisait déjà il y a 400 ans et qu’on fera encore et encore. Un rêve ? Un cauchemar peut être ? La conclusion cruelle à une histoire ordinaire. Celle de jeunes gens qui s’aiment. Celle d’une jeunesse rebelle et avide de liberté, de passion, curieuse et solaire. Enivrée d’envie. Qui se débat au cœur d’un monde violent, fait de peurs, de codes, de conventions sociales et familiales. Et qui meurt d’avoir voulu vivre selon ses choix.
Les cauchemars nous semblent parfois si réels...
Fidèle à l'écriture poétique de Shakespeare, les Chiens Andalous vous proposent aujourd'hui une version moderne, frénétique, électrique. Car si la pièce parle d’amour, elle parle avant tout de jeunesse. De ces individus en devenir, qui veulent exister pleinement, avec toute la fureur de la passion que peut contenir un jeune cœur prêt à exploser de désir, de rêve et de liberté au milieu d’une société plongée dans le chaos. Dans ce bourbier de haine et de violence, Romeo et Juliette reste, aujourd'hui comme hier, le symbole de cette course folle pour la vie.
« La mort, dévoreuse d'amour, n'existe pas si Juliette est mienne. » Romeo. Acte II scène 6
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