Sœurs

du 20 juin au 10 juillet 2021
2 heures

Sœurs

Comme on rassemble les pièces éparses d’un puzzle pour reconstituer une image &

Comme on rassemble les pièces éparses d’un puzzle pour reconstituer une image énigmatique, Wajdi Mouawad pose, dans cette nouvelle création, la question de l’identité et du positionnement vis-à-vis de ses origines. Ce spectacle polyphonique, interprété par Annick Bergeron, s’inscrit comme deuxième opus d’un cycle d’écriture commencé en 2008 avec Seuls.

  • Deux solitudes

Montréal – Ottawa. D’où vient cette tempête qui paralyse le trafic et tourmente les coeurs ? Neige crissante, route glissante. Au volant de sa Ford Taurus, Geneviève Bergeron est assaillie par l’émotion qui s’engouffre dans les interstices de sa conscience et dégèle ses larmes. « Je ne suis qu’une chanson… »

Mais qu’est-ce qui l’émeut comme ça ? Ce ne sont pas les mots de Ginette Reno à la radio. Ce ne sont pas les élans pathétiques de la chanson qu’interprète la diva québécoise. Non. C’est le constat d’une absence. L’absence d’un essentiel et les manques enfouis, les sens oubliés et les sentiments tus. Ce que Geneviève ne sait pas encore, c’est que ce choc émotif annonce la collision, qui surgira avec un autre corps solitaire sorti du brouillard : une collision qui fera de ces deux êtres féminins les réceptacles de la grande Histoire, de ses violences et de la manière avec laquelle l’intimité des êtres parvient à tenir tête aux brutalités du temps.

Sœurs est le deuxième volet du cycle Domestique initié en 2008 avec le spectacle Seuls. Le troisième volet, Mère, sera créé à La Colline en 2021.

  • La presse

« Mouawad, qui connaît la question québécoise comme sa poche et la diaspora libanaise comme son bonnet, fait dialoguer les deux exils (...) Deux portraits de femme dans une seule peau d'actrice, c'est fortiche ! » Emmanuelle Bouchez, Télérama TT, 25 févier 2015

« Wajdi Mouawad tisse une nouvelle grande tapisserie émotionnelle, qui conjugue l'intime et le monde. (...) Pour relever le défi de faire dialoguer plusieurs femmes (...), il a fait appel à une comédienne remarquable, Annick Bergeron, qui incarne avec virtuosité et humanité tous les rôles (...). A sa façon intello-romanesque - la complexité du monde dite simplement -, le dramaturge renouvelle le théâtre populaire. » Philippe Chevilley, Les Echos, 13 avril 2015

Sélection d’avis du public

Soporifique Par Jade D. - 20 juin 2021 à 23h45

Est-ce le manque de charisme de l'actrice principale, son jeu monotone, la longueur injustifiée de la pièce ou la fadeur du texte qui accable tant le spectateur et en fait un otage somnolant.

Soporifique Par Alice C. - 20 juin 2021 à 23h43

Est-ce le manque de charisme de l'actrice principale, son jeu monotone, la longueur injustifiée de la pièce ou la fadeur du texte qui accable tant le spectateur et en fait un otage somnolant.

Nihilisme ou nivellement par le bas Par Alice C. - 18 juin 2021 à 01h23

La pauvreté du vocabulaire du texte conjugué aux difficultés d'élocution et d'articulation de l'actrice rend le spectacle souvent inintelligible pour le spectateur qui décroche rapidement par lassitude.

Mitigée Le 15 avril 2015 à 09h19

Une mise en scène très intéressante, pleine de trouvailles, d'interactions entre dessin, vidéo et jeu de scène. Une actrice étonnante qui incarne ses personnages avec humour et naturel. Un beau texte, à priori ... mais un je ne sais quoi qui fait que l'on décroche au milieu et qu'on fini par s'ennuyer un peu. Est-ce le fond de l'histoire, pas assez prenant ? Le rythme qui s'essouffle ? La longueur de la pièce qui ne se justifie pas ? Difficile à dire ....

Synthèse des avis du public

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Soporifique Par Jade D. (1 avis) - 20 juin 2021 à 23h45

Est-ce le manque de charisme de l'actrice principale, son jeu monotone, la longueur injustifiée de la pièce ou la fadeur du texte qui accable tant le spectateur et en fait un otage somnolant.

Soporifique Par Alice C. (2 avis) - 20 juin 2021 à 23h43

Est-ce le manque de charisme de l'actrice principale, son jeu monotone, la longueur injustifiée de la pièce ou la fadeur du texte qui accable tant le spectateur et en fait un otage somnolant.

Nihilisme ou nivellement par le bas Par Alice C. (2 avis) - 18 juin 2021 à 01h23

La pauvreté du vocabulaire du texte conjugué aux difficultés d'élocution et d'articulation de l'actrice rend le spectacle souvent inintelligible pour le spectateur qui décroche rapidement par lassitude.

Mitigée Le 15 avril 2015 à 09h19

Une mise en scène très intéressante, pleine de trouvailles, d'interactions entre dessin, vidéo et jeu de scène. Une actrice étonnante qui incarne ses personnages avec humour et naturel. Un beau texte, à priori ... mais un je ne sais quoi qui fait que l'on décroche au milieu et qu'on fini par s'ennuyer un peu. Est-ce le fond de l'histoire, pas assez prenant ? Le rythme qui s'essouffle ? La longueur de la pièce qui ne se justifie pas ? Difficile à dire ....

Informations pratiques

La Colline (Théâtre National)

15, rue Malte Brun 75020 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Gambetta Librairie/boutique Restaurant Salle climatisée Vestiaire
  • Métro : Gambetta à 73 m
  • Bus : Gambetta - Pyrénées à 53 m, Gambetta à 57 m, Gambetta - Cher à 144 m, Gambetta - Mairie du 20e à 150 m
  • Station de taxis : Gambetta
    Stations vélib  : Gambetta-Père Lachaise n°20024 ou Mairie du 20e n°20106 ou Sorbier-Gasnier
    Guy n°20010

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Plan d’accès

La Colline (Théâtre National)
15, rue Malte Brun 75020 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 10 juillet 2021

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