Shitz ou l’histoire d’un mariage entre une fille boulimique et un entrepreneur sans scrupule. Un couple improbable qui s’unit pour s’enrichir par tous les moyens, aux dépens des parents de la mariée. Le combat joyeusement cruel de la jeune génération contre les vieux. Une comédie en chanson, féroce et impertinente, sur les conflits de génération et l’obsession de la possession.
Traduction de Laurence Sendrowicz.
« Un baroquisme populaire, bon enfant, viril, déjanté, joyeux et déchirant… Il faut aller rencontrer cet objet étrange. C’est du théâtre. » Le Figaro Magazine
« Quelle famille ! … Bernard Ballet, Anne Benoît, Salima Boutebal et Benoît di Marco se font les interprètes musclés de cette charge d’une force singulière. » Marianne
« Le rire comme remède au désespoir. La pièce d’Hanokh Levin brocarde la médiocrité des individus et de la société. Une démolition tout terrain sur fond d’humour vif et décapant. (…) Courez-y ! » Le Figaroscope
« Une comédie grinçante imprégnée d’humour yiddish et agrémentée de chansons. (…) C’est d’une belle adresse, on est dans le brut mais avec quelques bulles de champagne ». Le Parisien
« La pièce mêle le burlesque et l’épique… On rit et s’émeut à la fois… Complètement fou et délirant. » France Info
« Qui ne connaît encore l’époustouflant dramaturge israeline hankh Levin doit courir voir Shitz : Guerre, Amour et Saucisson, ou comment on chante, gueule, dans et pleure les horreurs de la guerre, de la famille, du couple, les ravages de la solitude, la passion boulimique et suicidaire des frites et du saucisson. ( ….) La satire est féroce mais jubilatoire… » Télérama
« La langue d’Hanokh Levin ne fait pas dans la dentelle. Elle attaque, surprend, percute, terrasse. Il ne reste au spectateur aucune autre issue que le rire. Brèche dans laquelle s’engouffre la mise en scène de Cécile Backes. » Pariscope
« La verve inouïe conférée par Hanokh Levin à ses personnages, les situations les plus crues, ne sont pas les seules originalités de cette comédie complètement folle. L’essentiel se passe en chansons désopliantes. Et dans ce formidable décor de meubles en Formica, ça déménage ! » Le Canard Enchaîné, octobre 2008
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