Écrite au XIXème siècle par le célèbre dramaturge russe Ivan Tourgueniev, Un mois à la campagne est une véritable ode à la jeunesse dont la nouvelle traduction de Michel Vinaver et la mise en scène d'Alain Françon en font un événement à ne pas rater !
Écrite au XIXème siècle par le célèbre dramaturge russe Ivan Tourgueniev, Un mois à la campagne est une véritable ode à la jeunesse. Alexeï est engagé comme précepteur chez les Islaïev le temps d’un été. Rapidement, il fait chavirer les cœurs, de même que la vie quotidienne de la paisible maisonnée… Les protagonistes s’agitent et les tensions s’accumulent. Tout cela va-t-il bien se terminer ?
« Chez les Islaïev, le temps passe sans qu’on ne s’en rendre compte. Alexeï, l’étudiant engagé comme précepteur, crée le trouble et fait chavirer les coeurs. Jalousie, rivalités, agacements… La paisible vie quotidienne de la maisonnée devient pour quelques jours le théâtre d’une agitation inhabituelle. Un mois à la campagne est une pièce sur la jeunesse, donc actuelle, sur cette force naturelle et vitale qui peut faire tomber toutes les barrières. Une nouvelle traduction de Michel Vinaver époustouflante, une distribution éblouissante, la promesse d’une mise en scène pénétrante dont Alain Françon a le secret, font de cette création un rendez-vous incontournable de la saison » Maryse Estier
« un spectacle délicat (...) Anouk Grinberg est fabuleuse, dans cette peinture subtile de personnages qui passent à côté de leur vie. C’est une actrice rare, dans tous les sens du terme : d’abord parce qu’elle apparaît peu sur les planches, choisissant ses spectacles avec exigence. Et surtout parce qu’elle a un jeu qui n’appartient qu’à elle. » Fabienne Darge, Le Monde, 14 mars 2018
« Elle est renversante. Où est-elle donc allée cherché cette voix de verre effilé, de poupée cassée, d'enfant née fanéee, cet étonnant phrasé ? (...) Anouk Grinberg est Natalia Petrovna. (...) Tourgueniev ne juge pas ses personnages. Alain Françon non plus, qui les met en scène avec une infinie délicatesse. » Jean-Luc Porquet, Le canard enchaîné, 21 mars 2018
du beau du très beau théâtre ...
j'ai du me retenir pour ne pas partir au milieu ; Anouk Grinberg est mauvaise, tout simplement, elle joue mal, sa voix est insupportable, India Hair ne sonne pas plus juste. Reste la mise en scène, minimaliste mais lumineuse. Je ne comprends pas l'engouement des critiques, vraiment...
très MECONTENTES des places reservées quasi au dernier rang du premier balcon.je ne pense pas que c'étaient des places de 1ère catégorie cela a pu s'arranger au lever de rideau mais ce contretemps était TRES désagréable
Aucune surprise dans ce travail honnête, mais qui souffre d'un excès de ... minimalisme. On est loin des demi-teintes et des atmosphères crépusculaires de Tchékhov.. Et la mise en scène ne valorise pas une pièce qui ne compte pas parmi les chefs d'œuvre théâtraux
Pour 30 Notes
du beau du très beau théâtre ...
j'ai du me retenir pour ne pas partir au milieu ; Anouk Grinberg est mauvaise, tout simplement, elle joue mal, sa voix est insupportable, India Hair ne sonne pas plus juste. Reste la mise en scène, minimaliste mais lumineuse. Je ne comprends pas l'engouement des critiques, vraiment...
très MECONTENTES des places reservées quasi au dernier rang du premier balcon.je ne pense pas que c'étaient des places de 1ère catégorie cela a pu s'arranger au lever de rideau mais ce contretemps était TRES désagréable
Aucune surprise dans ce travail honnête, mais qui souffre d'un excès de ... minimalisme. On est loin des demi-teintes et des atmosphères crépusculaires de Tchékhov.. Et la mise en scène ne valorise pas une pièce qui ne compte pas parmi les chefs d'œuvre théâtraux
J'ai bien aimé la pièce, la mise en scène, les décors mais je n'ai pas apprécié du tout le jeu de Anouk Grinberg que j'ai trouvé trop hystérique, trop caricatural. Plus de nuances , plus de respirations plus d'attention à la diction auraient été nécessaires.
évidemment excellent pour une fois la critique ne nous a pas trompé;pièce peu connue de Tourgueniev mais intéressante; mise en scène intelligente et une remarquable Anouk Grinberg; à voir
Dommage pour Anouk Grimbergen dont l’elocution Et le manque de puissance font que l’on perd beaucoup du dialogue Les autres sont excellent en particulier M Lescot
mise en scène sobre et allusive de la province russe au 19ème; troupe excellente autour d'Anouk Grimberg
Très bons acteurs, diction cependant une peu "affectée "de l'actrice principale, parfois difficile à comprendre ! Et très beau texte.
Extraordinaire interprétation collective
Très beau texte et belle interprétation. Des acteurs bien dirigés dans un mise en scène pleine de finesse. Le théâtre désuet est plaisant mais les places sont inconfortables et la sortie des spectateurs reste un problème.
je m'attendais à une mise en scène qui nous transporte un peu plus dans l'atmosphère d'une villégiature campagnarde de la russie du XIX. Le jeu très forcé, sans doute volontairement, d'Anouk Grimberg met mal à l'aise ou déclenche des rires; Dommage
Très belle soirée dans un joli petit théâtre classique . Pièce qui ne date pas du tout bien qu'écrite en 1850 . Interprétation et direction remarquable et intelligente d'acteurs doués et attachants en particulier Anouk Grimberg et Micha Lescot . Spectacle à recommander.
Un texte classique sans beaucoup de fond, avec une mise en scène des plus classiques. Des acteurs manquant d enthousiasme, une soirée bien décevante.
Très bon moment avec un texte fort porté par d'excellents comédiens et une mise en scène épurée. Marivaux chez les Russes. Dommage que le théatre Dejazet ne soit pas plus confortable. Nous étions au fond de l'orchestre avec une mauvaise visibilité.
41, boulevard du temple 75003 Paris