L’écrivaine Claudine Galea trace ici un chemin sensible entre passé et présent, elle qui a grandi entre un père né en Algérie, militaire ayant participé à la Seconde Guerre mondiale, à l’Indochine et une mère française et anticolonialiste. La metteure en scène Émilie Charriot et l’actrice Valérie Dréville donnent corps et voix à cette recherche de beauté et de vérité.
Comment préserver tout ce qui, dans les grands moments comme dans les gestes dérisoires, nous procure un sentiment de vie ? L’écrivaine Claudine Galea trace ici un chemin sensible entre passé et présent, elle qui a grandi entre un père né en Algérie, militaire ayant participé à la Seconde Guerre mondiale, à l’Indochine et une mère française et anticolonialiste.
Il est question de la porosité et du poids de la grande Histoire dans celle, intime, de la cellule familiale. Que fait-on de nos « héritages » ? La metteure en scène Émilie Charriot et l’actrice Valérie Dréville donnent corps et voix à cette recherche de beauté et de vérité où se mêlent la vie, la mort, le voyage en voiture avec un père décédé, la voix de Frank Sinatra à la radio, l’art et l’écriture comme souffle vital.
Les mises en scène les plus sobres sont parfois les plus fortes. Valérie Dréville seule sur ce plateau nu est impressionnante. On est souvent ému par ce texte fort. Toutefois, le texte de Claudine Galea comprend de nombreux passages truffés de références littéraires qui contribuent à le rendre en partie inaccessible.
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Les mises en scène les plus sobres sont parfois les plus fortes. Valérie Dréville seule sur ce plateau nu est impressionnante. On est souvent ému par ce texte fort. Toutefois, le texte de Claudine Galea comprend de nombreux passages truffés de références littéraires qui contribuent à le rendre en partie inaccessible.
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