La violence part souvent d’un bon sentiment
Individualité face à la société
La presse
Une étoile pour Noël c’est l’histoire du petit Nabil farouchement décidé à devenir premier ministre comme le lui a demandé secrètement son père. Entre les mines de ciment où travaille ce dernier et le ministère, il n’y a qu’un pas à franchir...
C’est en tout cas ce dont est bientôt convaincu Nabil, happé par la grande machine à laver d’une petite société, où chacun s’emploie à lui inculquer les recettes de la réussite : ne pas ressembler à son père, avoir un prénom avec les bonnes sonorités, connaître l’équation type d’un cercle pour découper un gâteau...
Dans ce microcosme peuplé d’ogres à visage humain, Nabil, tour à tour naïf et manipulateur, avance dangereusement sur le fil ténu de sa destinée. Une histoire où une simple tasse de thé peut avoir le tranchant d’une paire de ciseaux affûtés.
Loin des poncifs larmoyants et caricaturaux sur l’intégration, Nasser Djemaï propose une leçon d’humanisme, entre acidité et amertume, aussi salvatrice que décapante. Son texte est insolent, émouvant et drôle : il y a du théâtre militant qui ne se déclare pas comme tel, il est des propos apparemment naïfs qui cachent des vérités révolutionnaires.
Un désir d’ascension sociale face à une société à ce point satisfaite d’elle-même qu’elle réussit à persuader Nabil qu’en appliquant ses méthodes, il pourra accéder à tout ce dont il peut rêver : c’est-à-dire être lavé coûte que coûte quitte à en devenir transparent.
Une société qui prétend offrir une place qu’elle-même n’est pas prête à donner. Au-delà du cas particulier de Nabil, enfant d’immigrés, démarrant au bas de l’échelle sociale, Une étoile pour Noël pose la question de l’individualité face à une société qui ne la reconnaît pas, de la férocité d’un monde d’adultes paniqués résolus à cadrer les débordements farouches de l’enfance, et de manière plus intime, s’interroge sur l’étrange combat mené, dans la construction d’une identité, entre la part innée et la part façonnée par le désir des autres.
Natacha Diet
"Brillante « Etoile ». Nasser Djemaï, impressionnant acteur, signe un premier monologue à l’humour cinglant, teinté d’autobiographie." Libération - Maïa Bouteillet
"L’excellent Nasser Djemaï fait vivre avec sincérité et humour des personnages cruels et crédules, violents et humains. Tout simplement humains." Télérama - Michèle Bourcet
"Cet écrivain - acteur très doué se sert beaucoup de son pouvoir drolatique pour des choses essentielles." Politis - Gilles Costaz
"Nasser Djemaï parvient à contourner tous les clichés attendus (…) Vraiment brillant." Journal du dimanche - Stéphane Joby
"Il y a du théâtre militant qui ne se déclare pas comme tel et qui est d’autant plus efficace. Nasser Djemaï vient de jeter une pierre dans le jardin à la française des préjugés et des réflexes de classes : il y a parfois des jets salutaires." Theatre on line - Catherine Robert
"Diablement percutant (...) son spectacle laisse entrevoir un monde terrifiant : Le nôtre ! C’est finement observé inattendu et sensible." A nous Paris - Myriem Hajoui
"Très beau spectacle (…) Il nous captive, nous émeut nous fait rire… une belle performance d’acteur." Pariscope - Marie-Céline Nivière
"C’est drôle, fin et rythmé. À mille lieues du pathos et de la caricature. À voir absolument." Paris 75 - Emilie Bougouin
"Une mise en scène d’une sobriété rare (…) simplement jubilatoire." Jeune Afrique - Fadwa Miadi
"Une satire sociale menée avec finesse et intelligence". A voir - a lire - Georges Ghiska
"Même s’il ne faut pas abuser du terme de « révélation », on peut opportunément y recourir pour présenter le spectacle original et attachant que vient de concocter Nasser Djemaï. Son humour est aussi réaliste que léger, cherchant plutôt à souligner l’humanité des êtres derrière leurs contradictions." Webthea.com - Stéphane Bugat
il est venu en tournée au Maroc ou j'ai eu la chance de le voir à l'oeuvre. j'ai décidé de faire mon dossier théatre pour le bac sur lui si vous avez des informations susceptible de m'interesser contactez moii s'il vous plait
Limpide fluide vivant libre. Tout ce que le théâtre apporte quand on s'y consacre à 100%. ça le classe de facto parmi les très bons professionnels Un spectacle d'une grande qualité.
Enfin un spectacle où l'on ne s'ennuie vraiment pas. Il est tout seul, et il y a un tonerre de vie sur scène. Quel talent ! Je suis admirative. Cet homme est un génie.
Nasser Djemi m' atout de suite fait penser à philippe Caubere et sa piece se monte similairement. je lui souhaite le meme succes attendrai le tempps qu'il faut pour la suite: nasser president! j'ai vu Fellag et dieu que c'est plus sensible drole et classe : vive la nouvelle generation de ces comediens bourrésde talent, précis, passant du rire à l'emotion en un innsstant ( le silence) bref un bijou
il est venu en tournée au Maroc ou j'ai eu la chance de le voir à l'oeuvre. j'ai décidé de faire mon dossier théatre pour le bac sur lui si vous avez des informations susceptible de m'interesser contactez moii s'il vous plait
Limpide fluide vivant libre. Tout ce que le théâtre apporte quand on s'y consacre à 100%. ça le classe de facto parmi les très bons professionnels Un spectacle d'une grande qualité.
Enfin un spectacle où l'on ne s'ennuie vraiment pas. Il est tout seul, et il y a un tonerre de vie sur scène. Quel talent ! Je suis admirative. Cet homme est un génie.
Nasser Djemi m' atout de suite fait penser à philippe Caubere et sa piece se monte similairement. je lui souhaite le meme succes attendrai le tempps qu'il faut pour la suite: nasser president! j'ai vu Fellag et dieu que c'est plus sensible drole et classe : vive la nouvelle generation de ces comediens bourrésde talent, précis, passant du rire à l'emotion en un innsstant ( le silence) bref un bijou
Un vrai régal . Quel talent d'observation de notre société. C'est du "Tatie Daniéle" collectivisé au Théatre Bravo
3, place du 11 Novembre 92240 Malakoff
Voiture : Périphérique, sortie Porte de Vanves ou Porte Brancion puis direction Malakoff Centre-ville.