Une histoire du désir d’aimer, du désir d’aller voir plus loin, plus loin entre les bras d’une femme, plus loin dans l’expérience de la découverte de soi et du monde.
D’après l’adaptation théâtrale de Jean-Marie Besset.
« En imaginant ce qui a pu se passer entre les cinq habitants de cette petite maison de banlieue dans le début des années 1870, je me suis senti encouragé par la partialité du mythe familial, par un surprenant silence dans les lettres de Vincent qui ont survécu et par la tendance bien connue des jeunes hommes, écrivant chez eux, de taire les expériences formatrices. » Nicholas Wright, programme pour la création de la pièce en 2002 au National Theater de Londres.
« Là où l’histoire troublante du génie fait silence, l’auteur invente. Vincent Van Gogh a vécu. Il est mort comme au sortir d’une course effrénée. Impossible de savoir d’où est partie la course ! De quel jeune homme est sorti l’homme ? Un auteur anglais nous propose un conte, un pont entre deux lettres, la trame d’un moment inconnu de la vie du jeune Vincent, comme une « pièce », un raccommodage de fiction sur un silence de la correspondance que Van Gogh a entretenu avec son frère.
Face à la pièce « Vincent à Londres », on peut légitimement se demander : Que deviendrait cette pièce s’il ne s’agissait pas de Vincent Van Gogh ? Il resterait l’histoire vigoureuse et troublante d’un jeune homme étrange en train de se détacher de l’univers familial, vibrant de désir et pétri de contradictions. Histoire racontée avec humanité, mêlant l’humour et le drame, la tendresse pour les individus et leurs efforts pour vivre. » Hélène Vincent
"(...) Josiane Stoléru lui offre sa densité, son ultrasensibilité, sa grâce. (...) Une histoire simple de formation sentimentale, sensuelle, une histoire d’amitié, de jeunesse et d’amour. Dans un décor harmonieux que baignent de superbes lumières, des costumes seyants, les protagonistes vont leur vie dans l’alacrité d’un quotidien qui s’ouvre parfois sur la nuit de la déraison. (...) Hélène Vincent sait magnifiquement mettre en scène ces moments, comme ceux de l’effusion. Guillaume Marquet, avec une justesse troublante, comme Raphaël Personnaz, qui dessine bien son personnage, Amandine Pudlo et Laure Rodlan, si fines dans des partitions très différentes, donnent à la représentation une force touchante. Le tout donne un spectacle à part et très subtil." Armelle Héliot, Le Figaro, 24 septembre 2007
Mise en scène et interprétation à voir! Pourquoi si peu de monde? L'émotion reste ce qu'elle est profondément et en dépit de tout. La mode et l'intellectualisme n'y changeront rien et l'on retrouve dans ce texte et dans ce jeu si juste une bouleversante romance d'initiation à la vie, la construction d'un génie qui s'ignore.
tres bonne soirée une tranche de vie dans laquellle on se laisse entrainer avec grand plaisir Vincent VG , surprenant, tres present et la "logeuse" Josiane Stoleru assure avec maestria je regarderai les tableaux de VVG différemment, plus "intelligent" :-) allez-y
Une bonne soirée à recommander. Pour un non-initié de la vie du peintre, la pièce touche juste.
Mise en scène et interprétation à voir! Pourquoi si peu de monde? L'émotion reste ce qu'elle est profondément et en dépit de tout. La mode et l'intellectualisme n'y changeront rien et l'on retrouve dans ce texte et dans ce jeu si juste une bouleversante romance d'initiation à la vie, la construction d'un génie qui s'ignore.
tres bonne soirée une tranche de vie dans laquellle on se laisse entrainer avec grand plaisir Vincent VG , surprenant, tres present et la "logeuse" Josiane Stoleru assure avec maestria je regarderai les tableaux de VVG différemment, plus "intelligent" :-) allez-y
Une bonne soirée à recommander. Pour un non-initié de la vie du peintre, la pièce touche juste.
1, place Charles Dullin 75018 Paris