Société - Page 7

L'histoire de deux sœurs, un voyage au sein des préjugés et croyances propres à chacun, un plaidoyer pour la fraternité et la sororité avant tout !

Au départ, c’est l’histoire du Père Guérin qui reçoit des pressions pour ne pas témoigner contre un évêque suspecté d’avoir couvert des actes pédocriminels. Inspirée de l’affaire Barbarin, cette pièce, écrite comme un thriller, dresse le portrait d’un homme pris dans ses contradictions et qui se libère de la peur en trouvant la voie du courage.

Après Emma Bovary, Carme Portaceli s’empare d’Anna Karénine, héroïne moderne traquée par une société indigne de la juger. En catalan surtitré en français.

Samaa Wakim et Samar Haddad King, artistes palestiniennes, proposent une performance dansée et sonore pour exprimer le chaos dans lequel est plongé leur pays. Dans ce monde où la peur envahit tout, Losing it est la tentative désespérée et entêtée d’une possibilité de résistance.

Après avoir créé House en 2022, Amos Gitaï revient à La Colline avec un nouveau spectacle inspiré de sa trilogie cinématographique sur le Golem. Une histoire inspirée d’un ancien mythe se superpose aux interrogations contemporaines sur le rapport entre création et destruction, entre progrès et désastre, qui irriguent notre expérience quotidienne. Spectacle en anglais, arabe, espagnol, français, hébreu, ladino, yiddish surtitré en français et en anglais.

« Il faut bien de l'humour pour affronter la maternité, cette catastrophe ! » Une pièce manifeste qui rue dans les brancards du « maternellement correct ». À partir de 8 ans

Couper les steaks hachés en deux avec panache est un spectacle à une seule voix qui questionne le départ de son milieu d'origine. On y découvre la voix d'une adolescente issue de la classe moyenne, celle de la banlieue-campagne en périphérie des grandes villes, ballotée entre ruralité et modernité. À partir de 13 ans

« Si vous reconnaissez qu’un être est victime de son temps et que vous lui rendez sa liberté, c’est à son désespoir que vous le renvoyez ». J’ai désiré surprendre le spectateur en faisant se rejoindre deux personnages qui paraissent être à l’opposé l’un de l’autre : un pauvre homme à la vie manquée, un homme soumis, vaincu, dominé, puis son contraire : un grand bourgeois en pleine réussite professionnelle, aisé, lancé dans la société.

Une mère est poursuivie par la justice pour avoir abandonné sur la voie publique le papier du bonbon qu’elle venait de manger avec son enfant. Face à l’oppression qui la cerne, elle entame une métamorphose animale en guise de résistance.

Retour sur les amours libertaires et l’esprit contestataire des années 70. Irène se rappelle les deux hommes de sa vie, Gaspard et Réda, leur rencontre au Larzac en 1976 et leurs relations à trois sur fond de lutte paysanne victorieuse, aïeule des zones à défendre et berceau de l’altermondialisme.

Quelle place occupe notre corps dans la construction de notre identité ? Quatre interprètes vingtenaires, réunis en un chœur où mots, gestes et mouvements sont intimement liés puis déliés, répondent à l’emprise du regard des autres sur nos corps par la nécessité du collectif et la tendresse du lâcher-prise.

Quelle place occupe notre corps dans la construction de notre identité ? Quatre interprètes vingtenaires, réunis en un chœur où mots, gestes et mouvements sont intimement liés puis déliés, répondent à l’emprise du regard des autres sur nos corps par la nécessité du collectif et la tendresse du lâcher-prise.

Acclamée au Liban et à Paris, la pièce du cinéaste Philippe Aractingi revient à l’Essaïon, revisitant avec humour ses déboires artistiques.

Acclamée au Liban et à Paris, la pièce du cinéaste Philippe Aractingi revient à l’Essaïon, revisitant avec humour ses déboires artistiques.

Cette Nocturne danse réunira au plateau les chorégraphes Hamid Ben Mahi et Yves Mwanba qui présenteront chacun leur spectacle. Le premier évoque son histoire depuis les quartiers populaires de Bordeaux quand le second invite les danses qui l’ont construit, accompagné de sa mère. Une soirée et deux créations mettant la danse à l’honneur !

Issue de la danse hip-hop, Khoudia Touré se saisit, à travers le mouvement et l’expression corporelle, des questions du monde. Óró s’est ainsi tissé à partir de rencontres de jeunes adultes de France, du Sénégal et du Canada, et des systèmes de valeurs qu’ils questionnent et transgressent. À partir de 8 ans

Mon mal vient de plus loin pose la question suivante : Qu’est-ce qu’être un homme aujourd’hui à l’aune de la redéfinition de l’égalité des sexes ? De nos jours, la société fait face à une redéfinition passionnante et nécessaire de la masculinité. Alors que les normes traditionnelles ont longtemps dicté les comportements masculins, de plus en plus d’individus et de communautés s’engagent dans une démarche d’ouverture cherchant à déconstruire les stéréotypes de genre restrictifs. À partir de 15 ans

Le pissenlit peut s’épanouir dans des conditions difficiles. En effet, cette petite fleur simple et joyeuse pousse à peu près n’importe où il y a une pincée de terre, ou une simple fissure dans le trottoir… À partir de 9 ans.

Dans un espace éclaté entre le rituel, l’intime et le monstrueux, Kenza Berrada revêt la peau des autres et rapporte les paroles d’une victime d’abus sexuel, de l’agresseur et des témoins, faisant émerger les non-dits et les contradictions de la société marocaine.

Avec une grande élégance et un sens de la drôlerie indéniable, Simon Gauchet et Hiroaki Ogasawara construisent un récit aux allures de mythe, où les fantômes surgissent pour interroger le présent. On sort grandi de cette puissante et lumineuse expérience de théâtre. Dès 14 ans.

Avec ce récit en trois chapitres, mis en scène par Ido Shaked, le Théâtre Majâz dessine la cartographie sensible et intime d’un aller-retour entre l’Occident et l’Orient. Une histoire de passions et de tragédies, d’identités morcelées et d’espoirs permanents. A partir de 14 ans.

Quand le seizième arrondissement se révolte et prend des airs de barricades parce qu’un centre d’hébergement d’urgence va ouvrir ses portes.

Aimer la différence et la diversité plutôt que de les rejeter, accepter, comprendre, respecter les singularités de chacun·e, aimer celles et ceux que nous ne sommes pas, aimer celles et ceux que nous sommes : c’est l’amour sous toutes ses formes, toutes ses expressions et toutes ses couleurs que célèbre Thomas Lebrun dans cette nouvelle création.

Aimer la différence et la diversité plutôt que de les rejeter, accepter, comprendre, respecter les singularités de chacun·e, aimer celles et ceux que nous ne sommes pas, aimer celles et ceux que nous sommes : c’est l’amour sous toutes ses formes, toutes ses expressions et toutes ses couleurs que célèbre Thomas Lebrun dans cette nouvelle création.

Rythmés par leurs pensées et l'ennui, les interprètes du spectacle vont questionner le rapport à soi, aux autres et aux chocs.

"L’intime est politique." Le slogan inventé lors des mouvements de libération des femmes dans les années 1960 trouve, dans le sillage de MeToo, de multiples résonances. Cette prise de conscience bouleverse les modes d’organisation à l’échelle personnelle, du couple à la famille, mais aussi au niveau professionnel et sociétal.

Les glaces, la voix de Nina Simone, se réconcilier après une dispute, le papier bulle… du haut de ses 7 ans, une petite fille tente de sauver sa mère de la Dépression.

Dans Aesthetica, les corps deviennent le théâtre de nos interactions virtuelles. Une fusion captivante entre tango, danse contemporaine et musique live explore l’impact des réseaux sociaux sur nos existences et notre perception du monde.

Des employé·e·s d’un magasin d’ameublement trompent leur mélancolie. Ils et elles s’inventent parfois d’autres vies que les leurs dans les petits espaces de démonstration, parce qu’il faut bien échapper à la torpeur sourde, aux réfrigérateurs encastrables et à la fin du monde. À partir de 15 ans

C'est  l’histoire d’un visionnaire qui rassemble des êtres extraordinaires pour célébrer la diversité et l'unicité humaine à travers un spectacle inoubliable.