Cartoucherie - Théâtre du Soleil
Théâtre du Palais Royal
Comédie Oberkampf
Théâtre Hébertot
Théâtre des Bouffes Parisiens
Théâtre Edouard VII
Gaîté Montparnasse
Théâtre Montparnasse
Théâtre de Paris
Théâtre de la Renaissance
Café de la Gare
Comédie-Française - Salle Richelieu
Théâtre des Variétés
Théâtre Saint-Georges
Théâtre Actuel La Bruyère
Après 4 années à la tête du ministère de la Justice, Éric Dupond-Moretti remonte sur scène pour partager son expérience et raconter comme personne ce que c’est qu’être ministre et les coulisses de cette fonction.
Portées par un trio d'excellents comédiens - Swann Arlaud magistral - ces trahisons amoureuses d'Harold Pinter se révèlent. Grâce à un scénario habilement ficelé, l'intrigue progresse entre mensonges, aveux, légèreté apparente et orgueil. La mise en scène, les lumières et la musique accompagnent avec beaucoup de justesse ce jeu de dupes. Une réussite !
Un seul en scène saisissant où le comédien raconte avec une intensité troublante la cavale de celui qu'on surnomma l'Ange de la Mort. Le spectacle nous plonge dans l'esprit de cet homme en dévoilant des faits édifiants sur l'impunité de certains crimes nazis. Un sacré moment théâtral, captivant de bout en bout.
Ici, tout est suspendu. Dans un décor créant un onirisme troublant, les comédiens, en écoute très belle des uns avec les autres, disent, reprennent et redisent le mots de Lagarce, force de son écriture, pour atteindre une pensée toujours plus précise. On en sort profondément touchés par les membres de cette famille et la puissance destructrice de ses non-dits. Assurément déchirant.
Marc Tourneboeuf nous entraîne dans une course contre la montre à la recherche de la vérité dans l’une des affaires littéraires les plus intrigantes. Le texte précis, la langue recherchée, la distribution parfaite et la mise en scène sans temps mort de Julien Alluguette tiennent le spectateur en haleine de bout en bout. Un excellent moment !
Joueuse, légère et gaie, l’adaptation théâtrale et musicale de la BD d’Hubert et Zanzim par Léna Bréban et Ben Mazué est une merveille burlesque. Comique, sensible, ponctuée de chansons émouvantes et drôles, Laure Calamy y est entourée d’une joyeuse et excellente troupe. À voir absolument !
À l’aide d’un texte percutant, la pièce met en perspective les faits de l’époque et leurs retentissements, moins souvent évoqués, sur la situation actuelle au Moyen-Orient. Les comédiens sont remarquables : Jacques Weber, de suffisance et de cynisme, et Élodie Navarre, de pugnacité et d'habileté. Et au-delà de ces deux êtres, émergent les tréfonds de l'après-guerre, jusqu'à la dernière phrase... Saisissant et utile.
Cyril Gely nous propose une joute passionnante entre ces deux scientifiques. L'argumentaire de chacun est riche et l'intrigue est finement menée, au point que le spectateur se voit pencher tour à tour pour l'un ou l'autre. Le poids de l'histoire est incontestable, mais est-ce bien tout ? Ludmila Mikaël et Pierre Arditi sont remarquables de justesse. Absolument palpitant.