Amine Adjina est auteur, metteur en scène, comédien et scénariste. Formé à l’ERACM (promotion 19), il travaille avec Béatrice Houplain, Robert Cantarella, Alexandra Badea, Youri Pogrebnitchko, Valérie Dréville et Charlotte Clamens, Guillaume Levêque…
Après l’école, il joue pour Bernard Sobel, Jacques Allaire, Vincent Franchi, Jean-Pierre Baro, Matthieu Roy…
Au cinéma, il a joué pour Sébatien Lifschitz, Liova Jedlicki, Guillaume Chevalier…
Il créé, avec Émilie Prévosteau, la Compagnie du Double en avril 2012, au sein de laquelle il écrit et met en scène Sur-Prise et Dans la chaleur du foyer, ainsi que Retrouvailles ! qu’il co-dirige avec elle. Il écrit également pour Robert Cantarella (Musée Vivant), Coraline Cauchi (Clean me up), Azyadé Bascunana (Amer, Éditions Passages), Jean-Pierre Baro (Kévin, portrait d’un apprenti converti).
En janvier 2017, il obtient la bourse Beaumarchais-SACD pour son texte Arthur et Ibrahim. Il le crée en janvier 2018. Le texte est édité dans la collection Heyoka Jeunesse/Actes Sud-Papiers.
Dans le cadre de Binôme (Cie les sens des mots), il écrit Z.A.R Zone(s) à risque(s) (Solitaires Intempestifs/ Binôme 2) qui est lu lors du festival d’Avignon 2018.
Il travaille à l’écriture et la dramaturgie de Birth of Violence, mis en scène par Ioana Paun en novembre 2019 au Phénix, à Valenciennes puis en Belgique et en Roumanie.
Il écrit et co-met en scène avec Émilie Prévosteau, Projet Newman à l’automne 2019 au Théâtre de Vanves, TQI, CDN de Tours puis en tournée.
Il a joué dans la trilogie Point de non-retour (Thiaroye / Quai de Seine et Diagonale du vide) écrite et mise en scène par Alexandra Badéa au Théâtre de La Colline, Festival d’Avignon In, etc… entre septembre 2018 et janvier 2022.
En 2021, il présente La divertsité est-elle une variable d’ajustement… écrite et jouée avec Métie Navajo et Gustave Akakpo, puis Histoire(s) de France (Heyoka Jeunesse/ Actes Sud Papiers) dont il signe l’écriture et la mise en scène.
Il est finaliste du Grand prix de littérature dramatique jeunesse en 2022.
Il développe son premier long métrage avec Agat Films, écrit dans le cadre de l’atelier scénario de la Fémis en 21.
Théâtre des Quartiers d'Ivry, Ivry-sur-Seine
Un frère est parti à la ville. Il est devenu écrivain. L'autre frère et la soeur sont restés. Ils sont maintenant ouvrier et vendeuse. Un jour, l'écrivain revient au village, il a hérité de la maison familiale. Mais un abîme s'est ouvert comme une plaie douloureuse. A partir de 14 ans.
Théâtre de Corbeil-Essonnes, Corbeil-Essonne
Un frère est parti à la ville. Il est devenu écrivain. L'autre frère et la soeur sont restés. Ils sont maintenant ouvrier et vendeuse. Un jour, l'écrivain revient au village, il a hérité de la maison familiale. Mais un abîme s'est ouvert comme une plaie douloureuse. A partir de 14 ans.
Les plateaux sauvages, Paris
Par la rencontre entre un coach de boxe et une jeune novice, Transformers aborde le rapport qu’on entretient à son corps, aux corps des autres, qu’ils soient sublimés, fantasmés ou abimés. À partir de 14 ans
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
Avec cette farce, inspirée de l’ouvrage magistral de Günther Anders L’Obsolescence de l’homme, Émilie Prévosteau et Amine Adjina explorent les liens familiaux tout en questionnant nos rapports aux images
de fiction et à leur (sur)consommation.
L'Azimut - Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry
Un frère est parti à la ville. Il est devenu écrivain. L'autre frère et la soeur sont restés. Ils sont maintenant ouvrier et vendeuse. Un jour, l'écrivain revient au village, il a hérité de la maison familiale. Mais un abîme s'est ouvert comme une plaie douloureuse. A partir de 14 ans.
Les plateaux sauvages, Paris
Dans une banlieue du Sud-Ouest en 1992, les pavillons aux toits de couleurs sont réservés aux « blanc·he·s » et les barres blanc cassé aux « gens de couleurs ». Les enfants s’apprivoisent sur un endroit-passerelle : le terrain vague. Vingt ans plus tard, Medhi reprend contact avec une ancienne habitante des pavillons.
Vieux Colombier - Comédie-Française, Paris
L’arrivée d’un homme au charme magnétique dans une famille bourgeoise vient troubler la vie de chacun de ses membres. Amine Adjina réinterprète le film de Pasolini et lui donne avec poésie et humour un écho contemporain, emporté par une distribution impeccable. On adore.
Théâtre des Bergeries, Noisy-le-Sec
Concepteur·trice·s, auteur·trice·s et interprètes, Amine Adjina, Gustave Akakpo et Métie Navajo se rencontrent lors d’un festival où naît l’idée de cette conférence. Ils et elle viennent aux Plateaux Sauvages pour élaborer le spectacle dans sa conception dramaturgique jusqu’au passage à la scène. Venez les écouter et élire votre représentant·e de la diversité !
Théâtre 13 - Bibliothèque, Paris
« Nos ancêtres les Gaulois » : ce poncif de l’éducation républicaine est une des composantes primordiales du récit national. Historiquement, cette assertion n’a pourtant que peu de valeur tant la Gaule n’était pas un territoire unifié mais un archipel de tribus hétéroclites. À partir de 10 ans.
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
« Nos ancêtres les Gaulois » : ce poncif de l’éducation républicaine est une des composantes primordiales du récit national. Historiquement, cette assertion n’a pourtant que peu de valeur tant la Gaule n’était pas un territoire unifié mais un archipel de tribus hétéroclites. À partir de 10 ans.
La Colline (Théâtre National), Paris
Alexandra Badea et sa troupe d’actrices et d’acteurs poursuivent leur traversée de l’Histoire contemporaine et plus que jamais universelle de la France. Pour ce deuxième volet de la trilogie Points de non-retour, elle place au centre de l’histoire le personnage de Nora, réalisatrice de documentaires pour la radio publique française et partie sur les traces de son grand-père en Algérie.
La Colline (Théâtre National), Paris
Comment dénouer les nœuds de l’histoire, ces « points de non-retour » dont on effleure parfois les thèmes dans les repas de famille, sources de blessures et de divisions de la société français ? Dans une fresque déployée en trois parties, Alexandra Badea et ses acteurs donnent la parole à ceux que l’on n’entend pas, dans une traversée de l’histoire contemporaine et résolument universelle de la France.
La Colline (Théâtre National), Paris
Troisième opus de la trilogie Points de non-retour, [Diagonale du vide] convoque la mémoire des « enfants de la Creuse », ces jeunes Réunionnais déracinés entre 1963 et 1982 pour repeupler les zones rurales de la métropole.