Née en 1979, Charlotte Corman est diplomée du Conservatoire National Supérieur d'Arts Dramatiques de Paris (2006-2009) et de l'Académie de Musique et d'Arts Dramatiques de Londres (2004-2005). Durant ses études, elle se forme auprès de Matthias Langhoof, Mario Gonzalez et Muriel Mayette.
Elle s'est déjà produite dans de nombreuses productions, notamment Mont Royal, m.e.s Juliette Navis-Bardin et Raphaèle Bouchard (Cie La Vie Brève) ; Entre chien et loup de Caroline Darchen, m.e.s collective, au Théâtre de Vanves ; Montre-moi ta Pina, un spectacle pour 28 chorégraphes et metteurs en scène, coordonné par Jeanne Candel, au Théâtre de Vanves ; Meeting Massera/Paroles d’acteurs, m.e.s par Jean-Pierre Vincent au Théâtre de la Cité Internationale ; Fantasio d'Alfred de Musset, m.e.s Julia Vidit, tournée dans plusieurs villes en France ; La Guerre n’a pas un visage de femme, de Svetlana Alexievitch, m.e.s Didier Ruiz, au Théâtre Paris-Vilette ; Himmelweg de Juan Mayorga, m.e.s Jorge Lavelli au Théâtre de la Tempête ; Terre Natale de Daniel Keene, m.e.s Laurent Guttmann ; Visite au Père de Roland Schimmelpfennig m.e.s Adrien Béal.
Bouffes du Nord, Paris
« Si vous avez un jour voulu écrire une lettre à quelqu’un de cher sans jamais le faire, parce que vous n’avez pas osé, pas su, pas pu, ou pas réussi à aller jusqu’au bout, racontez-la-moi et je l’écris pour vous. » David Geselson invite de nouveaux spectateurs à lui partager leurs missives le matin même de chaque représentation. Dans la journée, il les écrit. Le soir, il les transmet au public.
Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine, Vitry sur Seine
Trois opus pour explorer l’étrangeté qui se niche au cœur même du quotidien. Il s’agit, à travers plusieurs fictions de rendre sensibles et apparentes les normes par lesquelles nous regardons une situation singulière. Dès 14 ans.
Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine, Vitry sur Seine
Trois opus pour explorer l’étrangeté qui se niche au cœur même du quotidien. Il s’agit, à travers plusieurs fictions de rendre sensibles et apparentes les normes par lesquelles nous regardons une situation singulière. Dès 14 ans.
Théâtre Jacques Carat à Cachan, Cachan
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Echangeur, Bagnolet
Une femme insatisfaite de son conjoint retrouve son ancien amant. Dans la caravane miteuse de ce dernier, l’excitation est palpable, le danger imminent. Il y a du sexe sur la table, des gifles perdues et du whisky dans la tête... Dès 15 ans.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
David Lescot reprend l’histoire là où il l’avait laissée dans J’ai trop peur, avec le même dispositif tout-terrain, pour décrypter avec beaucoup d’humour cet univers impitoyable que se révèle être la vie des préados. A partir de 8 ans.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Théâtre des Abbesses, Paris
Le 16 avril 1987, Francis Bouygues, géant du BTP, acquiert 50 % du capital de TF1 pour trois milliards de francs. Dans cette privatisation d’une grande chaîne du service public au nom d’un supposé « mieux-disant culturel », Thomas Quillardet voit l’avènement d’une nouvelle ère où les lignes idéologiques entre droite et gauche commencent à se brouiller.
Théâtre Jacques Carat à Cachan, Cachan
David Lescot reprend l’histoire là où il l’avait laissée dans J’ai trop peur, avec le même dispositif tout-terrain, pour décrypter avec beaucoup d’humour cet univers impitoyable que se révèle être la vie des préados. A partir de 8 ans.
Théâtre des Abbesses, Paris
David Lescot reprend l’histoire là où il l’avait laissée dans J’ai trop peur, avec le même dispositif tout-terrain, pour décrypter avec beaucoup d’humour cet univers impitoyable que se révèle être la vie des préados. A partir de 8 ans.