La chorégraphe Gaëlle Bourges, prête à toutes les audaces, s’inspire du livre Austerlitz, de l’auteur allemand W. G. Sebald, elle invente un puzzle protéiforme qui relie des fragments de mémoire des sept interprètes et révèle les liens secrets qui les unissent. 

Avec Olympia, Édouard Manet signait l’un des plus grands scandales de l’art du XIXème siècle. Si la figure blanche centrale de l’œuvre, cristallise toutes les attentions, la deuxième femme du tableau  semble avoir été totalement oubliée par l’histoire de l’art. Un siècle et demi après le scandale de 1865, la chorégraphe Gaëlle Bourges rend grâce aux femmes restées dans l’ombre.

Le baroque, ici et maintenant ! Avec Lou et Loulou (la petite pelisse), les chorégraphes Mickael Phelippeau et Gaëlle Bourges interprètent chacun à leur façon la Belle Danse, pour mieux la réinventer.

Avec Olympia, Édouard Manet signait l’un des plus grands scandales de l’art du XIXème siècle. Si la figure blanche centrale de l’œuvre, cristallise toutes les attentions, la deuxième femme du tableau  semble avoir été totalement oubliée par l’histoire de l’art. Un siècle et demi après le scandale de 1865, la chorégraphe Gaëlle Bourges rend grâce aux femmes restées dans l’ombre.

Avec Olympia, Édouard Manet signait l’un des plus grands scandales de l’art du XIXème siècle. Si la figure blanche centrale de l’œuvre, cristallise toutes les attentions, la deuxième femme du tableau  semble avoir été totalement oubliée par l’histoire de l’art. Un siècle et demi après le scandale de 1865, la chorégraphe Gaëlle Bourges rend grâce aux femmes restées dans l’ombre.

En activant par de petits gestes dansés, des poupées et des accessoires miniatures, trois performeuses nous content le récit de deux célèbres tableaux du XVIème siècle : Diane au bain, par l’École de Fontainebleau et Suzanne au bain par Le Tintoret. Une invitation savoureuse, pour tous les âges. À partir de 6 ans.

1940 : quatre jeunes garçons, une grotte à explorer avec un trésor à la clef… À la lumière de téléphones portables, par un jeu d’ombres chinoises, Gaëlle Bourges convoque, au fil d’un récit bouleversant, un bestiaire préhistorique en invitant petits et grands à la fascinante (re)découverte de l’art des cavernes. À partir de 6 ans.

Conjurer l’apocalypse, danser la tapisserie médiévale, relier les époques et les civilisations : l’œuvre de Gaëlle Bourges éclaire le corps de la femme, au fil de l’histoire de l’art.

Une soirée, trois chorégraphes (Thabiso Heccius Pule, Hector Thami Manekehla et Gaëlle Bourges), sous le signe de la sexualité et sa représentation. Dans le cadre des Rencontres Chorégraphiques 2013.

Dans le vocabulaire psychiatrique, « La belle indifférence » désigne l'insensibilité ou l'insouciance de l'hystérique. Afin d'interroger le lien unissant le corps des femmes aux regards qui le déshabillent, Gaëlle Bourges s'est saisie de ce terme pour feuilleter différentes couches d'images et de discours laissant le soin au spectateur de conjuguer ensemble ces fragments d'histoires, d'analyses et d'iconographies.