1870, la Commune de Paris, 1871, la révolte de Mokrani en Algérie, 1878, l'insurrection kanak en Nouvelle-Calédonie, trois récits qui s'entrecroisent. Un spectacle musical où les mélodies traversent les hémisphères pour créer un horizon commun. À partir de 15 ans. 

1870, la Commune de Paris, 1871, la révolte de Mokrani en Algérie, 1878, l'insurrection kanak en Nouvelle-Calédonie, trois récits qui s'entrecroisent. Un spectacle musical où les mélodies traversent les hémisphères pour créer un horizon commun. À partir de 15 ans. 

Le jeune metteur en scène Simon Mauclair s'empare du roman phare de Don DeLillo sur les événements du 11 septembre 2001, L’Homme Qui Tombe, dont le titre fait référence à la photographie de Richard Drew prise au cœur des attentats. Le grand écrivain américain y poursuit son exploration de la violence d’un monde et d’une époque à travers des phénomènes intimes, sous-jacents, et inexplicables. À partir de 14 ans.

Madame Chang vit dans une maison de retraite, entourée de personnes dont elle ne parle pas la langue. Alors, pour ne pas sombrer dans le mutisme, pour continuer d’échanger, elle invente une gestuelle de survie. Daniela Labbé Cabrera et Aurélie Leroux se lancent dès lors dans une vaste enquête sur l’histoire de cette inconnue. À partir de 10 ans.

Pour Gwenaël Morin, l'œuvre de Fassbinder peut former une « archéologie de la violence ». Il s’empare de quatre de ses pièces, mêle l'intime au politique, pour mettre à nu l’exploitation des sentiments et les rapports de domination entre les êtres. Une « intégrale » menée tambour battant, avec drôlerie et distanciation, par de formidables comédiens.

Fassbinder met à nu les relations amoureuses des quatre protagonistes, où se dévoile le rapport malsain consommant-consommé… L’« amour » ne saurait échapper aux lois d'une nature humaine de plus en plus corrompue par la consommation.

Pour Gwenaël Morin, l'œuvre de Fassbinder peut former une anthologie et une archéologie de la violence. Il s’empare de quatre pièces dont le style pousse loin l’artifice pour mieux faire claquer la vérité : celle de l’exploitation effrénée des sentiments par le fascisme ordinaire.

Dans la nudité de la parole, l'écriture de Beckett oscille en permanence entre un fol espoir et une fatale tristesse. Le couple de Oh les beaux jours, Winnie et Willie, est l’archétype de ce théâtre. C'est la promesse de l'instant et la puissance de vie qui nous sont données à voir.

Sur un texte de Peter Handke, rédigé entièrement à la première personne, Gwenaël Morin devient le chef d'orchestre d'un singulier pluriel, chuchotant ou vociférant une parole emportée.

Entre fait réel et mauvais cauchemar on suit l’histoire d’un juif recueilli pendant la seconde guerre mondiale par un couple d’Allemands et hébergé clandestinement dans leur grenier contre loyer et services. Mais rien ne dure, même en temps de guerre... Entre histoire (petite et grande) et onirisme, entre tragédie et cocasserie.