On entend souvent parler de la violence des hommes, mais rarement de celle des femmes. C’est une plongée intime dans la monstruosité humaine qui questionne chacun de nous. Avec pour seul recours les mots pour trouver son chemin dans l'obscurité. Un voyage impudique porté de manière inattendue par une jeune actrice qui invite encore à renverser les stéréotypes.
Grand prix de littérature dramatique 2011.
On entend souvent parler de la violence des hommes, mais rarement de celle des femmes. Cette photographie parue dans le Washington Post le 21 mai 2004, d’une soldate américaine tenant en laisse un prisonnier irakien dans la prison d'Abu Ghraib en est une illustration. Néanmoins, ce n’est pas le rejet, mais le désir pour la soldate que provoque cette image pour l’autrice. Un désir qu’elle interroge.
C’est une plongée intime dans la monstruosité humaine qui questionne chacun de nous. Avec pour seul recours les mots pour trouver son chemin dans l'obscurité. Un voyage impudique porté de manière inattendue par une jeune actrice qui invite encore à renverser les stéréotypes.
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