Molière 2005 du meilleur comédien dans un second rôle : Maurice Chevit.
Une enfance à Brooklyn
La presse
« Brooklyn Boy, nouvelle pièce de Donald Margulies, dont j’avais monté Dîner entre Amis avec Catherine Frot, Didier Sandre, Patrick Chesnais, (prix Pulitzer), sera une création mondiale simultanée à New-York et à la Comédie des Champs-Élysées.
Eric Weiss, écrivain issu de Brooklyn, après plusieurs modestes essais, réalise un « best seller » sur son enfance à Brooklyn, ses démêlés avec son père, la fuite de ses origines. Le succès de ce livre autobiographique, même s’il s’en défend, suscite frustrations et jalousies parmi de ses proches (père, femme, ami d’enfance) qui se reconnaissent dans son ouvrage, et réclament leur part d’identité et de notoriété.
Pleine d’humour et de dérision (humour juif new-yorkais, proche de Woody Allen), cette pièce souligne avec émotion et drôlerie la difficulté d’échanger et de communiquer avec ceux que l’on aime. »
Michel Fagadau
« Très jolie histoire…traitée avec tact, humour et émotion, atteint par son humanité à l’universel [...] Stéphane Freiss et Stéphanie Fagadau : élégance et spontanéité. » Figaro Magazine, Philippe Tesson
« La pièce de Donald Margulies est simple, efficace, bien construite. [...] un spectacle vivant, délié qu’on suit avec plaisir. [...] (Stéphane Freiss) charme, intériorité, tension, il est parfait. » Le Figaroscope, Marion Thébaud, 27 octobre 2004
« Une leçon d’humanité où Stéphane Freiss, le héros, déploie l’ampleur de son talent poignant. » Le Canard enchaîné, Bernard Thomas, 27 octobre 2004
« Stéphane Freiss, une présence à l’autre, un oubli de soi magnifique. [...] autant de portraits tracés avec verve, malice et émotion par Michel Fagadau. » Télérama, Fabienne Pascaud, 27 octobre 2004
« Un grand moment théâtral. » L’actualité juive, Michèle Levy Taïeb, 21 octobre 2004
« un bien beau spectacle. Ne le manquez pas. [...] On rit beaucoup. [...] C’est beau. » Le Quotidien du Médecin, A.H., 20 octobre 2004
« les scènes se succèdent de façon limpide. Stéphane Freiss est le héros, au jeu secret et réservé, de ce roman gentiment édifiant, dont la force est amplifiée par le jeu impeccable de tous les interprètes. » Zurban, Gilles Costaz, 20 octobre 2004
« Une comédie intelligente dans le droit fil de l’humour juif new-yorkais. [...] Une mise en scène à la fois discrète et inventive, portée par un bouquet de comédiens très justes. » Les Echos, Annie Coppermann, 18 octobre 2004
« Une comédie fort bien troussée , mise en scène au millimètre et servie par une poignée d’acteurs qui rivalisent de talents. » Marianne, Alexis Liebaert, 16 au 22 octobre 2004
« Une pièce remarquable, bien écrite, composée simplement, très bien adaptée et mise en scène par Michel Fagadau dans un décor mobile, pratique, harmonieux […] Une pièce pure jouée toute en émotion. Beaucoup d’émotion, beaucoup d’humour et jusqu’au rire. Une merveilleuse virtuosité. [...] Maurice Chevit, interprète sensible et touchant, lumineux, désarmant. [...] Epatante Smadi Wolfman. [...] Stéphane Roux-Weiss, dans le rôle ingrat du bellâtre californien, très fin, efficace. [...] Belle, pointue dans le jeu, musicale, coquine et tendre Alison, Stéphanie Fagadau. [...]Un Stéphane Freiss au sommet de son art, radieux et sombre à la fois. Un bel interprète, grave et léger, précis, délié. » Le Figaro, Armelle Héliot, 15 octobre 2004
« Depuis Colombe d’Anouilh en 1996, le meilleur spectacle de Michel Fagadau. » Le Point, Frédéric Ferney, 14 octobre 2004
« Stéphane Freiss, omniprésent pour notre plus grand bonheur, excelle dans le rôle de cet écrivain que le succès et la mort du père viennent troubler. Maurice Chevit est emballant en vieil homme peu charitable. » Journal du dimanche, Florence Muracciole
« Stéphane Freiss, donne beaucoup de profondeur, de sensibilité empreinte d'une certaine nostalgie, à son personnage. [...] la mise en scène de Michel Fagadau est précise et laisse sa part à l'émotion. » France2/3.fr, Jean-Claude Rongera, 6 octobre 2004
« Une pièce très drôle et très actuelle de l'auteur new-yorkais Donald Margulies. » L'express.fr, Roland Mihaïl et Antoine Silber, 27 septembre 2004
Pièce vibrante, émouvante, qui vous fait beaucoup réfléchir et que tous les couples "mixtes" devraient voir ! Bravo à tous les acteurs et notamment à Stéphane Freiss et à celui qui joue sa "Conscience" (Pardon de ne pas connaître son nom !).
Pièce vibrante, émouvante, qui vous fait beaucoup réfléchir et que tous les couples "mixtes" devraient voir ! Bravo à tous les acteurs et notamment à Stéphane Freiss et à celui qui joue sa "Conscience" (Pardon de ne pas connaître son nom !). Danièle 14ème
Brooklyn Boy est une pièce très touchante. On y trouve la difficulté de l'écrivain Eric Weiss à communiquer avec ses proches, sa grande solitude et ses interrogations malgré son succès littéraire et celà sous fond d'humour juif new-yorkais. On passe du rire aux larmes... Superbe interprétation de la part de Stéphane Freiss, meilleur qu'il ne l'a jamais été, épousant ce rôle avec la grâce d'un homme dans la force de l'âge.
Pièce vibrante, émouvante, qui vous fait beaucoup réfléchir et que tous les couples "mixtes" devraient voir ! Bravo à tous les acteurs et notamment à Stéphane Freiss et à celui qui joue sa "Conscience" (Pardon de ne pas connaître son nom !).
Pièce vibrante, émouvante, qui vous fait beaucoup réfléchir et que tous les couples "mixtes" devraient voir ! Bravo à tous les acteurs et notamment à Stéphane Freiss et à celui qui joue sa "Conscience" (Pardon de ne pas connaître son nom !). Danièle 14ème
Brooklyn Boy est une pièce très touchante. On y trouve la difficulté de l'écrivain Eric Weiss à communiquer avec ses proches, sa grande solitude et ses interrogations malgré son succès littéraire et celà sous fond d'humour juif new-yorkais. On passe du rire aux larmes... Superbe interprétation de la part de Stéphane Freiss, meilleur qu'il ne l'a jamais été, épousant ce rôle avec la grâce d'un homme dans la force de l'âge.
15, avenue Montaigne 75008 Paris