New York, les Années Folles. Plein de non-sens, Robert Benchley est en ébullition. Ce dimanche, il doit écrire sa chronique pour Harper’s Bazaar. Au rythme de Gerschwin et Bartok, son esprit vagabonde. Comment arriver à faire tout ce que l’on doit faire sans en avoir l’air, voyager en train avec des enfants, l’incapacité de dire NON, affronter ses ennemis inanimés... Un stratagème dérisoire réussira-t-il à duper Art Samuels, son éditeur ?
« Auteur, acteur, réalisateur, Robert Benchley (1889-1945) fut le gourou de Groucho Marx, Woody Allen et bien d’autres. Aussi barge que réjouissante, sa plume acérée faisait fureur dans les pages du « Vanity Fair » et du « New Yorker », égayant une Amérique frappée par la Première Guerre mondiale puis la Grande Dépression. L’homme fit les quatre cents coups avec Dorothy Parker et Ernest Hemingway, puis fonda avec ses camarades le « Cercle Vicieux de l’Hotel Algonquin » qui inventa un nouveau type d’humour typiquement américain. » Yann Perreau (Les Inrocks)
« Bob Benchley est le premier à m’avoir initié à la bière Ballantine. C’est devenu mon meilleur compagnon. » Ernest Hemingway
« Une façon bien restrictive de décrire Benchley serait de dire qu’il occupe une place unique dans l’Humour Américain. Il est le meilleur. » S.J. Perelman (The New York Times, 22 nov.1945)
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