Quand le théâtre relaie les cris étouffés de femmes opprimées pour participer à leur lutte avec l’espoir de les aider à remonter des profondeurs… L’expérience éprouvée du metteur en scène François Bourcier dans la forme originale du « spectacle témoignage» est mise à profit de cet émouvant regard porté sur les femmes. Loin de vouloir exporter ou imposer un mode de pensée, Femmes passées sous silence invite à une réflexion poignante sur la condition des femmes dans le monde et non de la femme.
Femmes voilées, battues, violées, excisées, prostituées, mais également victimes de la misère sociale, du quotidien : mères divorcées sans revenu ni mari, femmes syndicalistes harcelées… Des témoignages bouleversants, souvent violents formidablement incarnés par un collectif d’auteurs, d’hommes et femmes connus, reconnus ou anonymes (romanciers, essayistes, dramaturges, philosophes et poètes) et interprétés avec brio par trois jeunes comédiennes.
Traitée sous la forme d’une pièce « fragments », la scénographie résolument dépouillée est ponctuée d’éléments sonores et visuels qui nous entraînent dans une succession de tableaux dynamique et percutante. Un spectacle singulier et d’une rare intensité qui nous aide à relayer l’inexprimable d’un silence trop assourdissant.
je souhaite faire la lecture entière de cette pièce et éventuellement la mettre en scène. Comment faire pour acheter le texte ? Vous pouvez me répondre à : franblot@orange.fr
on ne sort pas indemne de ce style de théâtre. on prend en pleine figure ce que l'on tente de ne pas voir pas entendre ni même imaginer la violence et l'injustice sous toutes ses formes sont relatées avec beaucoup de pudeur j'ai beaucoup aimée, cela me donne encore plus envie de me battre et de défendre les droits des femmes qui sont souvent victimes des hommes.
je souhaite faire la lecture entière de cette pièce et éventuellement la mettre en scène. Comment faire pour acheter le texte ? Vous pouvez me répondre à : franblot@orange.fr
on ne sort pas indemne de ce style de théâtre. on prend en pleine figure ce que l'on tente de ne pas voir pas entendre ni même imaginer la violence et l'injustice sous toutes ses formes sont relatées avec beaucoup de pudeur j'ai beaucoup aimée, cela me donne encore plus envie de me battre et de défendre les droits des femmes qui sont souvent victimes des hommes.
8 bis, rue sainte Catherine 84000 Avignon