Dans un coin tranquille de la Suède, c'est la fin des cours. Trois jeunes gens s'ennuient. Ils parlent de leur amour pour la race suédoise : ils évoquent les matchs de foot et les dangers que font peser les " métèques " sur la pureté de la Suède. Ils disent aussi leur fascination pour le passage à l'acte par excellence : la mise à mort de quelqu'un.
Sur ces entrefaites, un garçon passe. C'est un enfant coréen recueilli et éduqué par une famille des environs. La famille est fortunée et " l'étranger " réussit à l'école.
En outre, c'est peut-être le noeud gordien de la pièce, il croit à la vertu du dialogue.
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