Casimir, héros, revient des terres exotiques, auréolé de gloire militaire, pour la plus grande joie de sa maman, et de sa jolie fiancée. Mais, on nous l’a changé notre Casimir ! C’est un cas Casimir, une catastrophe, un casse-tête cosmique, un casse-pied cataclysmique intersidéral et sidérant… Quelle cacophonie !
« Sans l’azote, pas de 14 juillet, pas de frontières, pas de beurre, pas de canons, pas de gaz, pas d’électricité, pas d’autobus, pas de moralité, pas d’hélicoptères, rien… l’anarchie quoi ! »
Un pamphlet engagé contre la bêtise des hommes
Casimir n’est plus le même. Sa vieille maman et Justine, sa
fiancée, ne le reconnaissent plus.
Il faut dire que Casimir rentre de la guerre, harcelé par les
moustiques assassins et les visions sanglantes, la tête brûlée
par les vapeurs corrosives de l'azote ; il erre en délirant,
dans un monde où il ne trouve plus sa place.
Humour noir, écriture mordante, L’azote est une farce
tragique qui dénonce la guerre et son incohérence.