« Il fallait un exemple. Il fallait apprendre aux femmes du monde ce dont est capable une femme du monde. »
Une jeune femme orgueilleuse choisit de se laisser mourir dans le tombeau de son mari. Sa nourrice tente de la dissuader en y introduisant un garde au charme diabolique. Dans un esprit proche du sado-masochisme, les personnages se touchent, se bousculent, se tiraillent, jusqu’à l'extrême jouissance.
« Un ange qui vous parle, cela mérite une réponse, Non ? »
Un personnage, proche de Gavroche, interpelle une demoiselle par sa fenêtre. Tel un équilibriste, il fera tout pour qu'elle daigne le regarder. Une fenêtre ouverte sur le monde ; sur l'amour qui passe et qui s'en va en laissant derrière lui un halo de splendeur et d'espoir.
« Il était si joli, si joli que toutes les femmes étaient jalouses de ses cheveux, de ses cils, de sa taille, de sa peau. »
Une femme tue par amour. Elle raconte sa terrible histoire et celle de Maxime, qui se travestissait pour fuir la justice et… Pour rire aussi.
Avec également La farce du Château.
8, rue de Nesle 75006 Paris