Ils sont cinq : quatre acrobates et une chanteuse, autour du cadre aérien et du portique coréen, ils volent, se lancent et se rattrapent… Cinq réalités, personnalités qui s’entremêlent et s’entrechoquent. Un huis clos mystérieux, chaotique et sensible. Tout le monde y a sa place mais personne n’ose vraiment la prendre. Il suffit pourtant de si peu. Sombrer dans sa couleur, noircir les traits pour éclairer son parcours…
Ces cinq drôles de femmes errent donc à la recherche de leur identité, du presque rien qui les remplit pourtant si singulièrement et différemment. Elles sont ensemble mais le savent-elles vraiment ? Y a-t-il de la place pour tout le monde ? De la place pour chacun ? Chacune ?
Dans un univers déjanté et sensible, La femme de trop parle de la solitude, de l’identité, du groupe, de l’être et de l’humanité. Du cirque brut, cru et sans pudeur. De la voltige spectaculaire qui donne le frisson. Energique, sensuel et drôle.
Marcel et ses drôles de femmes est un quatuor normand-gersois-catalan.
magnifiques voltiges, musiques et voix de qualité, sensible et prenant
Pour 1 Notes
magnifiques voltiges, musiques et voix de qualité, sensible et prenant
106, rue Brancion 75015 Paris