A partir de 12 ans.
Un groupe de mineurs se pense aux antipodes du monde des arts et se découvre peu à peu un appétit pictural insatiable. Ils sont tiraillés entre leur nouvelle découverte et leur conviction qu’ils appartiennent à un monde imperméable à l’art. Et pourtant, en se plongeant dans leur peinture, ces mineurs apprendront à expliquer ce qu’ils font, et à travers cela à définir leur place dans cette société. Ils découvriront que la peinture leur permet de représenter autre chose que leur propre existence. Ils comprendront que l’art est un moyen de dire sans mot, sans notion, quelque chose d’universel.
Le tour de force de cette pièce se situe donc dans son double impact : elle tient un discours sur l’art, et en même temps, elle agit conformément à ce discours. Elle met en acte et rend réel, par son accessibilité, par son humour, par le style de l’écriture et par le choix des personnages, cette idée que l’art est, et reste universel.
Les questions politiques contemporaines de la pièce sont l’occasion d’ouvrir le propos, pour aller vers une question plus large, plus politique encore, de la place et du rôle de chacun dans la société actuelle, et ce par le prisme de l’art.
« Tout repose sur les neuf comédiens, leur sensiblité. Ils assurent ! (...) un plaidoyer passionné pour l'accès de tous à la culture » Mathieu Perez, Le canard enchaîné, 10 mai 2017
« Du très beau travail, touchant, à tous points de vue. » L'Humanité, 8 mai 2017
« Au-delà de la fable mirifique, la pièce nous offre une belle réflexion humaniste sur le caractère universel de l'art, de la beauté et du savoir. Utilisant les codes du théâtre de plateau (dispositif bifrontal, scénographie minimale) sans afféterie aucune, les dix comédien(nes) campent le Ashington Group - bravache, braillard, socialiste et joyeux. » Philippe Chevilley, Les Echos, 5 mai 2017
« On retient donc de ce spectacle le bel engagement et l’esprit " fraternel " qui y règne. On ne lâche pas ces attachants comédiens qui défendent avec fougue et talent sur plus de deux heures le destin extraordinaire de ces mineurs anglais dans ce portrait social et engagé. Une bien belle réussite. » Nicolas Arnstam, Froggy's delight
« Quand on fait de l’art sa vie, on se doit de poser la question : tout le monde est-il artiste ? Tout le monde peut-il être artiste ? Qu’est-ce que le beau, la technique, comment définit-on l’art ? Il faut continuer de se poser ces questions. Elles motivent nos choix, nos carrières, elles sont la source du travail de l’artiste. Ce spectacle les remet au premier plan avec une grande technique, de l’humour, et beaucoup d’envie. De quoi y trouver des réponses, peut-être. » Victoria Fourel, Un Fauteuil pour l'Orchestre
Discussion simple, entee gens simples, mais d'une intelligence profonde. Tres bon
Très bonne pièce qui fait réfléchir tout en étant très accessible
Le spectacle est porté par le texte et le thème, les acteurs savent l'accompagner en se faisant oublier, c'est une qualité rare. Une belle émotion.
Pour 3 Notes
Discussion simple, entee gens simples, mais d'une intelligence profonde. Tres bon
Très bonne pièce qui fait réfléchir tout en étant très accessible
Le spectacle est porté par le texte et le thème, les acteurs savent l'accompagner en se faisant oublier, c'est une qualité rare. Une belle émotion.
30, rue du Chevaleret 75013 Paris