Catherine aime un homme qui la battait. Elle le quitte et vient se réfugier chez son amie fidèle, Irène. Leurs rêves d’enfance contrariés se réveillent, elles se rappellent, se souviennent. Une pièce limpide où des questions réelles sont constamment présentes, où les réponses apparentes nous renvoient profondément à d’autres questionnements.
Catherine aime un homme qui la battait. Elle le quitte et vient se réfugier chez son
amie fidèle, Irène. Leurs rêves d’enfance contrariés se réveillent, elles se rappellent, se souviennent.
Irène est choquée : comment Catherine a-t-elle pu accepter cette situation ? Mais la Solitude n’est-elle pas plus terrible, lui rappelle Catherine.
Et, comme toujours chez Daniel Keene : des questions si profondes dites avec des mots simples. Une pièce limpide où des questions réelles sont constamment présentes, où les réponses apparentes nous renvoient profondément à d’autres questionnements.