Opéra chanté en italien, surtitré en français et en anglais.
Parmi le corpus des opéras dits « magiques » de Haendel, Orlando est le seul à ne pas utiliser une magicienne mais un mage, Zoroastro, peut-être le plus beau rôle de basse de tout le catalogue opératique du musicien. Ce n’est d’ailleurs pas le seul fait marquant d’une partition à tous égards exceptionnelle, par sa construction, sa richesse mélodique, son orchestre, la puissance de ses récitatifs, ses airs superbement expressifs et ses morceaux de bravoure. Le livret de l’Orlando furioso de l’Arioste a inspiré à Haendel l’une de ses plus belles partitions, notamment le trio à la fin du premier acte et la grande scène de la folie d’Orlando qui clôt le second où Franco Fagioli devrait briller de mille feux.
Avec Il Pomo d'Oro.
15, avenue Montaigne 75008 Paris