Neuf ans après avoir découvert l’étrange âpreté du théâtre de Maeterlinck, où chaque personnage est d’abord porteur de sa propre tragédie, Debussy créait sa version musicale du drame de Pelléas et Mélisande. Un drame où le « silence actif », qui formait le fond du dialogue de l’écrivain flamand, était remplacé par une musique que Stéphane Mallarmé lui-même avait reconnue seule capable d’exprimer d’indicibles vérités. Maeterlinck mit bien des années à admettre que le musicien, à qui il avait abandonné son œuvre, en avait fait entendre toute la part d’inexprimable.
Drame lyrique en cinq actes de Claude Debussy.
Livret du compositeur d’après la pièce de Maurice Maeterlinck.
Créé à l’Opéra Comique le 30 avril 1902
Avec le Monteverdi Choir et l'Orchestre Révolutionnaire et Romantique, Direction musicale Sir John Eliot Gardiner.
une lenteur effroyable, un livret qui m'a fait regretter de comprendre le Français, un ennui profond né de l'incompréhension de ces phrases chantées avec une noirceur et une emphase profondes, même lorsque leur signification est légère, Bref , à fuir.
Pour 1 Notes
une lenteur effroyable, un livret qui m'a fait regretter de comprendre le Français, un ennui profond né de l'incompréhension de ces phrases chantées avec une noirceur et une emphase profondes, même lorsque leur signification est légère, Bref , à fuir.
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