Terre océane

• L'inaudible musique du monde

Un père, un fils adoptif, l’oncle du père…

La Nature, la neige, le vent, la tempête, un chien…

La lutte pour survivre et pour affronter la mort…

Vie et mort s’entremêlent, la mort est vivante ; nous disparaissons dans un univers infini, nous ne sommes que des poussières d’étoiles …

Danis nous encourage à exister dans cette extraordinaire Nature, au coté de nos êtres chers. Ce texte est une onde sonore, un chant ; Danis est un inventeur de langue qui donne à entendre l’intraduisible musique du monde.

Les personnages gardent leurs enfances éternellement, ils cherchent à survivre, à être aimé, reconnu d’un regard, d’un sourire, d’une parole apaisée.

Daniel Danis parle de ces êtres qui souffrent dans leur chair mais qui sont sauvés par un simple signe d’amour et de bonté.

• La presse

« [...] on sourit souvent, on retient son souffle, et le spectacle nous conduit jusqu’à plonger, avec Antoine, Gabriel, Dave, Charlotte, dans l’étendue et la profondeur de la Terre océane, sans craindre sa propre émotion.Il faut aller au Théâtre l’Échangeur de Bagnolet prendre ce bain de tendresse, délicat et revigorant. » Christine Friedel, Theatre du blog, 18/10

« La propagation émotive, tel un feu de court-circuit, fuse d’être en être, en un éclair de lumière dans l’espace sombre pour composer la matière particulièrement délicate de ce spectacle fort. [...] Un spectacle poétique dont les paroles déclamées à travers la présence sensible des acteurs traduisent la proximité universelle des mouvements intérieurs de l’âme. » Véronique Hotte, Hotello, 17/10

« C’est toujours à fleur de cœur, les textes de Daniel Danis. Il faut trouver l’équilibre, l’émotion suspendue. C’est ce que réussit Etienne Pommeret [...] Le spectacle est très poignant mais, ouaté, feutré, fait d’autant de silences que de mots, il est aussi voyage esthétique et voyage intérieur. » Gilles Costaz, WebThéâtre, 16/10

« Terre Océane est un spectacle qui vous imprègne, vous pourchasse, se plaque à votre peau en sortant de la salle. Des mots résonnent sur le chemin du retour, et toujours, cette sensation de neige qui ne s’arrête plus de tomber. » Pierre-Alexandre Culo, ThéâtreActu, 15/10