You don’t own me revient sur un fait divers hors norme qui a fait la une des journaux du monde entier en 2006 : l’affaire Natascha Kampusch. Dans une forme qui emprunte au documentaire autant qu’à la fiction, la pièce met en relief la circulation des discours entre médias et opinion : une plongée dans les paradoxes du processus victimaire et de notre inaltérable besoin de compassion.
You don’t own me revient sur un fait divers hors norme qui a fait la une des journaux du monde entier en 2006 : l’affaire Natascha Kampusch.
À sa libération, la jeune autrichienne – enlevée sur le chemin de l’école et demeurée captive pendant huit ans avant de s’échapper – est particulièrement attendue. Mais dès sa première apparition télévisée, Natascha dérange : elle cache sa souffrance, tient un discours nuancé sur son ravisseur et refuse de se conformer à l’image de « la victime modèle » qu’on attend d’elle. Après avoir un temps suscité l’admiration pour sa force de caractère, Natascha Kampusch devient la proie d’une campagne de lynchage médiatique sans précédent.
Dans une forme qui emprunte au documentaire autant qu’à la fiction, You don’t own me met en relief la circulation des discours entre médias et opinion : une plongée dans les paradoxes du processus victimaire et de notre inaltérable besoin de compassion.
Excellent, très captivant ,émouvant et prisant, l'équilibre parfait entre la tristesse et la distraction.
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Excellent, très captivant ,émouvant et prisant, l'équilibre parfait entre la tristesse et la distraction.
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