Antoine Gindt a assuré la direction artistique d’enregistrements de disques de Pascal Dusapin, de Georges Aperghis et de Gérard Pesson. Il est l’auteur d’articles sur les musiques d’aujourd’hui (Aperghis, Kagel, Rihm, Ives, Goebbels, Dusapin, Jarrell...) et a dirigé un ouvrage collectif sur Georges Aperghis (Le corps musical, éditions Actes Sud, 1990).
Il dirige T&M depuis 1997, après avoir été codirecteur de l’Atem avec Georges Aperghis (1992-1997).
En tant que conseiller artistique, il a participé aux spectacles Pierrot lunaire et autres valses sur les oeuvres de Schoenberg (Michel Deutsch/ Olivier Dejours, Orléans 1991), Fragments de Hölderlin sur les oeuvres de Wolfgang Rihm et Hans Werner Henze (Claude Malric/ Armand Angster, Orléans, Nanterre, 1992), Jakob Lenz de Wolfgang Rihm (Michel Deutsch/Olivier Dejours, Opéra de Strasbourg, 1993, Nanterre, 1995), Alfred, Alfred de Franco Donatoni (André Wilms/ Ed Spanjaard, Nanterre, 1998).
2013 Aliados d'Esteban Buch et Sebastian Rivas
2010 Créations pour Ring Saga Saison 1, festival scénique de Richard Wagner
2007-2008 : Pas Si (Stefano Gervasoni, création à Saint-Denis)
Kafka-Fragmente (György Kurtág), Carré Saint-Vincent/ Scène Nationale d’Orléans (reprise le 30 janvier 2007 au Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines).
The Rake's Progress (Stravinski, direction Franck Ollu, Festival de Ponte de Lima, juillet 2007)
2006 : Consequenza, un hommage à Luciano Berio (avec l’Ensemble Remix, création à Strasbourg-Festival Musica, Paris-Théâtre des Bouffes du Nord, Porto-Casa da Musica à l’automne 2006)
2005-2007 : Medea (opéra de Pascal Dusapin sur le texte Medeamaterial de Heiner Müller), Teatro San Martin, Buenos Aires, reprise à Orléans, Saint-Quentin-en-Yvelines, Porto, Bourges, Vilnius, Reims en 2007.
2003 : Richter, Opéra documentaire de chambre (Mario Lorenzo, Esteban Buch, Franck Ollu) au CETC Teatro Colon de Buenos Aires et au Théâtre Paris-Villette (Festival d’Automne à Paris).
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Avec cet opéra pour voix seule, électronique et « piano simplifié à l’extrême », Dmitri Kourliandski fait entendre l’immortelle héroïne, environnée de la rumeur d’autres voix depuis longtemps séparées du monde des vivants, tandis que résonnent les appels de sons urbains, composant « un paysage de ville fictive », et que se déploie le texte de de Nastya Rodionova.
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Théâtre de Gennevilliers (T2G), Gennevilliers
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Théâtre de Gennevilliers (T2G), Gennevilliers
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Théâtre de Gennevilliers (T2G), Gennevilliers
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris