Dans le sillage de Jean Vilar, Émilien Diard-Detoeuf perçoit Dom Juan comme la pièce la plus proche de nos pensées, de nos inquiétudes, de nos convictions. Deuxième volet de la trilogie Le ciel, la nuit et la fête du Nouveau Théâtre Populaire autour de Molière.
Dans le sillage de Jean Vilar, Émilien Diard-Detoeuf perçoit Dom Juan comme la pièce la plus proche de nos pensées, de nos inquiétudes, de nos convictions. Entre farce et tragédie, entre mensonge et sincérité, le libertin dépeint par Molière bat en brèche la morale, tout en restant rivé aux fluctuations de ses envies. Projetées sur la scène contemporaine, les angoisses des hommes du XVIIe siècle s’épanouissent dans la nuit dont nous connaissons encore l’obscurité.
« Le ciel, la nuit et la fête propose le récit d’un désir fragile de réconciliation et d’unité : par la troupe d’acteurs, par la simplicité des moyens engagés et par le verbe d’un seul auteur, dont nous sommes tous, en tant que femmes et hommes de théâtre, les héritiers. »
Léo Cohen-Paperman, Emilien Diard-Detœuf et Julien Romelard
5 rue Édouard Poisson 93300 Aubervilliers
Voiture : par la Porte d'Aubervilliers ou de La Villette - puis direction Aubervilliers centre
Navette retour : le Théâtre de la Commune met à votre disposition une navette retour gratuite du mardi au samedi - dans la limite des places disponibles. Elle dessert les stations Porte de la Villette, Stalingrad, Gare de l'Est et Châtelet.