Le temps des fins s’interroge, en trois parties, au devenir de notre société contemporaine dans un monde voué au changement s’il ne veut pas « s’effondrer ». Une saga environnementale, où il est question de la fin d’un monde et du début d’un autre et où l’engagement politique se fait écologique.
Plus qu’une histoire de forêt menacée de destruction, Le temps des fins de Guillaume Cayet est une véritable fable écologique et poétique : chasseur mystique ou militant·es idéalistes, tou·tes sont lié·es intimement à ce lieu.
Un seul lieu, une multitude de destins : une forêt va être rasée pour construire, à la place, un lac censé alimenter une centrale nucléaire. Sur scène se succèdent un chasseur, des zadistes, une famille, tou·tes lié·es de différente manière à ce territoire.
Le temps des fins s’interroge, en trois parties, au devenir de notre société contemporaine dans un monde voué au changement s’il ne veut pas « s’effondrer ». Une saga environnementale, où il est question de la fin d’un monde et du début d’un autre et où l’engagement politique se fait écologique.
Avec la forêt de Bure en tête, proche de là où il a grandi, Guillaume Cayet a imaginé un texte incarné par trois acteur·rices, qui cherche d’autres façons d’habiter le monde, face à la crise climatique. Avec ses rythmes galvanisants, la musicienne Anne Paceo composera pour un chœur présent sur scène, faisant basculer ces récits dans la dimension du mythe.
Trois récits se déroulent sur plusieurs années dans un même lieu. Plongée dans une forêt menacée de destruction. Lutte pour sa sauvegarde. Avènement d’un nouveau monde après une tempête apocalyptique. Les plans de la forêt sont superbes, saisissants et envoûtants. Fable écologique et politique réussie.
Le monologue de début est un peu long. Le spectacle de la fin est démoralisant.
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Trois récits se déroulent sur plusieurs années dans un même lieu. Plongée dans une forêt menacée de destruction. Lutte pour sa sauvegarde. Avènement d’un nouveau monde après une tempête apocalyptique. Les plans de la forêt sont superbes, saisissants et envoûtants. Fable écologique et politique réussie.
Le monologue de début est un peu long. Le spectacle de la fin est démoralisant.
17, boulevard Jourdan 75014 Paris
Placement libre
18 €