Prix Théâtre 13 / Jeunes Metteurs en Scène 2015

du 12 juin au 1 juillet 2015

Prix Théâtre 13 / Jeunes Metteurs en Scène 2015

Pour la dixième année consécutive, le Théâtre 13 organise son concours dédié aux jeunes metteurs en scène. Les participants ont entre 25 et 35 ans et les spectacles doivent comporter un minimum de 6 comédiens. Un jury de présélection (composé des metteurs en scène ayant travaillé au Théâtre 13) retient les 6 meilleurs projets parmi les 80 qui concourent chaque année. Ces spectacles sont présentés au public et au jury final (composé des principales institutions présentes dans le secteur du spectacle vivant ainsi que de directeurs de théâtres). Le lauréat de ce concours sera programmé au Théâtre 13 la saison suivante et recevra une aide financière pour cette reprise.
  • Attention ! Concentré de jeunes talents

Pour la dixième année consécutive, le Théâtre 13 organise son concours dédié aux jeunes metteurs en scène. Les participants ont entre 25 et 35 ans et les spectacles doivent comporter un minimum de 6 comédiens. Un jury de présélection (composé des metteurs en scène ayant travaillé au Théâtre 13) retient les 6 meilleurs projets parmi les 80 qui concourent chaque année. Ces spectacles sont présentés au public et au jury final (composé des principales institutions présentes dans le secteur du spectacle vivant ainsi que de directeurs de théâtres). Le lauréat de ce concours sera programmé au Théâtre 13 la saison suivante et recevra une aide financière pour cette reprise.

Pour le public, c’est l’occasion de découvrir le travail de jeunes metteurs en scène talentueux : des spectacles ambitieux, originaux et de très grande qualité. C’est aussi l’occasion d’être présent au moment de l’envol des créateurs de demain.

Pour les metteurs en scène, le concours est un réel dispositif d’accompagnement et de soutien : développer un projet ambitieux avec le soutien de metteurs en scène confirmés, confronter leur travail au public et rencontrer très vite les principaux partenaires de notre profession et les programmateurs de théâtre.

  • Programme

Vendredi 12 juin 20h30 / Samedi 13 juin 19h30
Ivan Off
d’après Anton Tchekhov mise en scène Heida-Eva Clavier

Mardi 16 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 17 juin 2015 à 20h30
Merlin ou la terre dévastée
texte Tankred Dorst mise en scène Marc Delva

Vendredi 19 juin 2015 à 20h30 / Samedi 20 juin 2015 à 19h30
Antoine et Cléopâtre
d’après William Shakespeare mise en scène Vincent Thépaut

Mardi 23 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 24 juin 2015 à 20h30
Les Fils de la terre
d'après le documentaire d'Edouard Bergeon mise en scène Elise Noiraud

Vendredi 26 juin 2015 à 20h30 / Samedi 27 juin 2015 à 19h30
Hot House
texte Harold Pinter mise en scène Loïc Renard

Mardi 30 juin 2015 à 19h30 / Mercredi 1er juillet 2015 à 20h30
L’Enfant froid
texte Marius von Mayenburg mise en scène Stéphane Benazet

Jeudi 2 juillet 2015 à 12h (entrée libre)
Remise des prix

  • Les spectacles

Ivan Off
D’après Anton Tchekhov mise en scène Heida-Eva Clavier
1h15 sans entracte – à partir de 11 ans

Ivan Off est un parcours à travers le silence d’un homme et l’incompréhension de tous face à lui. Adapté d’Ivanov de Tchekhov, ce spectacle tente de percer le mystère de cet homme qui ne répond jamais. Pourquoi se tait-il  ? Mais également, que pourrait-il dire  ?

Ivan Off est une recherche, une enquête sur un silence, celui d’Ivanov. Adapté de la pièce d’Anton Tchekhov, le silence ici est une tentative de traduire l’énigme que représente cet homme aux yeux du spectateur et des autres protagonistes. Il ne répond pas, plus. On s’interroge alors. Pourquoi ce silence ? Quelle détresse recouvre-t-il ? Quelle est son origine ? Quelles sont ses causes ? Quels effets ? Que pourrait-il dire s’il parlait ? Lui laisse-t-on le choix ?

C’est aussi le tableau de la fin d’un monde et de l’avènement d’un ordre nouveau, qui se manifeste par l’opposition de deux maisons et se solde pa

r le naufrage de l’une d’entre elle, dans la ruine, la maladie et le désespoir ; tandis que l’autre se développe, grandit et prend peu à peu le pouvoir par l’argent. C’est une tentative collective de s’approprier les mots de l’auteur et d’y intégrer ce silence, silence intime et personnel mais également prise de position face au monde, silence politique, militant. Face au monde qui se déverse en permanence dans chaque instant de paix, le silence est un centre, un coeur. Le coeur de notre recherche et de notre dialogue avec Tchekhov, en tentant de raconter Ivanov avec le même étonnement, la même intransigeance, la même tendresse, comme un être qui cesse progressivement de suivre le cours des choses et qui devient, par là, l’oeil d’un cyclone ravageur qui bouleverse tout sur son passage.

Avec Hélène Bressiant : Zinaïda Savvichna, Julien Barret : Lébédev, Elsa Epis : Babakina, Maxime Gleizes : Borkine, Guillaume Laloux : Ivanov, Laureline Le Bris-Cep : Anna Petrovna, Pauline Tricot : Sacha, Gabriel Tur : Lvov. Traduction : Françoise Morvan et André Markowicz, Adaptation & scénographie : Heidi-Éva Clavier, Collaboration artistique : Lola Felouzis, Création lumières : Nicolas Simonin, Musique : Gabriel Tur, Costumes : Théodora Paquet.

Merlin ou la terre dévastée
Prémices texte Tankred Dorst mise en scène Marc Delva
1h30 sans entracte – à partir de 12 ans

Dans la légende du Graal, Merlin, né du Diable et d'une mortelle, est enchanteur, devin et conseiller du roi Arthur. Tankred Dorst recrée Merlin, mais à l'âge de la relativité. Dans cette mise à distance systématique et jubilatoire, il n'y a pas seulement un parti pris esthétique, mais également une leçon politique : Merlin est un guide, un artiste, un créateur, qui joue avec le feu : en lançant les hommes à la recherche du Graal, il provoque la perdition du royaume des hommes. Dans la légende du Graal, Merlin, né du Diable et d'une mortelle, est enchanteur, devin et conseiller du roi Arthur. Certes on retrouve ici tout le merveilleux de la manne arthurienne, combats de dragons, l'épée fichée dans la pierre, les tours de Merlin, et le plaisir de réécouter ces histoires... les amours de Lancelot et Guenièvre, la Table ronde, " l'innocence " de Perceval, la déchéance de Mordret et la quête du Graal.

Mais Dorst a compris que par les temps qui courent, les mythes qui nous hantent ne peuvent plus être représentés que dans la distance et l'ironie. Ainsi, les chevaliers conversent avec Mark Twain, et il peut arriver qu'un spectateur prenne feu sur scène. Dorst ne cesse pas de nous faire rire et de nous réjouir en accumulant les gags, les trucs de théâtre et les tours de magie. Et plus c'est énorme, plus le plaisir est grand, car on va aussi au théâtre pour voir de l'énorme.

Dans cette mise à distance systématique et jubilatoire, il n'y a pas seulement un parti pris esthétique, mais également une leçon politique : Merlin est un guide, un artiste, un créateur, qui joue avec le feu : en lançant les hommes à la recherche du Graal, il provoque la perdition du royaume des hommes.

Avec James Borniche : Sir Gauvain, Sir Orilus, Florent Hu : Sir Kaï, L'écuyer de Sir Yder, Thomas Brazete : Perceval, Manon Rey : Blanchefleure, Hélène, Galaad, Grétel Delattre : Le Diable, La narratrice, Benjamin Guillet : Le Roi Arthur, Édouard Penaud : Sir Lancelot, Sir Beauface, Elodie Galmiche : Hercéloide, Yseult, La grosse Berthe, Christophe Garcia : Merlin, Sophie Mousel : Guenièvre, Flavien Bellec : Mordret, Hugo Bardin : Le Clown, Sir Aggravain, Sir Yder, Emmanuel Rehbinder : Sir Lamorak, Florian Boolay : Mark Twain, Le menuisier. Traduction : Hélène Mauler, Adaptation : René Zahnd, Assistants à la mise en scène : Elodie Galmiche, Vivien Niderkorn et Hugo Bardin, Création mapping vidéo : Arnaud Berthonneau, Olivier Carru et Romain Da Costa de Digital Essence, Création vidéo : Alexander Murphy et Gaspard Lembeye, Conception sonore : Luc Delva, Création musicale : Sophie Mousel, Edouard Penaud, Thomas Brazete, Benjamin Guillet, James Borniche et Manon Rey, Costumes : Hugo Bardin et Marc Delva, Scénographie : Thomas Brazete et Marc Delva

Antoine et Cléopâtre
D’après William Shakespeare mise en scène Vincent Thépaut
1h30 sans entracte – à partir de 12 ans

Adaptation contemporaine et musicale sur fond de péplum hollywoodien, cette réécriture d’Antoine et Cléopâtre de Shakespeare emprunte aux discours propagandistes de géopolitique actuelle autant qu’à l’énergie érotique du Gangsta-funk pour atteindre l’ambition de cette fresque théâtrale : tirer un plaisir dionysiaque d’une effrayante tragédie du pouvoir.

Après cinq cent ans de république, Rome est tombé sous le joug de quelques oligarques. Les frontières se discutent dans les banquets, la propagande lève des armées. Marc-Antoine, héro vengeur de la mort de Jules César a depuis longtemps cédé une vie décadente dans le palais d’Alexandrie, laissant Cléopâtre, la reine d’Egypte devenir maîtresse de sa personne et de son destin. Rome le rappelle comme dernier rempart contre l'appétit hégémonique d’Octave. Dans ce conflit, ceux que le peuple a imprudemment élevés comme maîtres du monde ne sont plus les esclaves que de leurs passions, et celles-ci sont à leurs images, excessives.

Racontée par Shakespeare, l'Histoire de Rome est fulgurante, érotique, éthylique, drôle, tragique et sanglante. Elle prend des accents de satire politique et écorche les dirigeants avec autant de violence qu’elle écrase les peuples. Pas de demi-mesure : tout est immense et deviendra infime, les dieux semblent avoir déserté le monde, laissant les hommes minuscules livrés à eux-mêmes s’épuiser dans leurs querelles et se noyer dans leur ivresse du pouvoir. Leurs cris ébranlent en vain la voûte du ciel.

« MARC-­‐ANTOINE : Je baiserai la mort jusqu’à ce qu’elle m’aime, je vais être une arme mille fois plus génocidaire que sa faux. »

Avec Isabel Aimé Gonzales : Sola, Cléopâtre, Béatrice Aubazac : Octavie, Iras, Luca Besse : Marc-Antoine, Florian Choquart : Lépide, le messager, Taurus, Simon Falguière : Pompée, Scarus, Elsa Foucault : Agrippa, Charmiane, Romaric Séguin : Octave, Vincent Thépaut : Enobarbus. Traduction et adaptation : Vincent Thépaut, Musiques originales : Florian Choquart, Scénographie : Julie Camus, Costumes : Charles Chauvet, Lumières et son : Léa Maris, Construction : Antoine Alliot et Julie Camus.

Les Fils de la terre
D'après le documentaire d'Edouard Bergeon, Adaptation et mise en scène Elise Noiraud
1h20 sans entracte – à partir de 10 ans

Dans le sud de la France, Sébastien, un jeune agriculteur, porte à bout de bras la ferme familiale. Son exploitation est au bord du gouffre : Sébastien croule sous les dettes car le lait qu'il produit se vend chaque jour moins cher. Et chaque jour, son père lui répète qu’il ne fera jamais aussi bien que lui. De pressions financières en pressions familiales, le fils doit choisir : sauver la ferme de son père ou sauver sa vie.

Les Fils de la Terre est un film documentaire d'Edouard Bergeon, sorti en 2012. Cette adaptation en est largement inspirée. C'est un texte théâtral, mais dont l'origine documentaire se ressent dans le réalisme des dialogues, et dans le choix d'un sujet résolument social. Les Fils de la Terre est un spectacle que l’on pourrait résumer ainsi : tragédie rurale.

Quand l'histoire commence, Sébastien vient d'obtenir du tribunal un délai de 6 mois pour régler ses dettes. S'il n'y parvient pas, la ferme de son père sera mise en liquidation. De pressions financières en pressions familiales, le fils va devoir choisir : sauver la ferme de son père ou sauver sa vie. Ce spectacle amène sur scène une réalité sociale souvent méconnue ou ignorée (et loin des fantasmes de retour à la terre) : celle des agriculteurs d’aujourd’hui, tout en nous faisant entrer dans l’histoire déchirante d’une famille. Une famille qui a accumulé tellement de non-dits qu’elle est au bord de l’implosion. Entre conte moderne et théâtre documentaire, ce spectacle part de questions économiques pour plonger peu à peu dans des questions humaines, et interroger le thème de la filiation, qui dépasse largement le cadre du monde agricole.

Avec Benjamin Brenière : l’ami, le juge, le photographe, un infirmier, François Brunet : le père, Sandrine Deschamps : La femme, la représentante en cosmétiques, Julie Deyre : la mère, la traductrice, la sage‐femme, l'animatrice radio, Sylvain Porcher : le juriste, l'acheteur hollandais, un infirmier et Vincent Remoissenet : le fils. Scénographie : Boris Van Overtveldt, Création lumières : Philippe Sazerat, Création sonore : François Salmon et Adrien Soulier, Costumes : Mélisande de Serres, Décor : Baptiste Ribrault.

Hot House
Texte Harold Pinter mise en scène Loïc Renard
1h20 sans entracte – à partir de 12 ans

La pièce se déroule dans une sorte de maison de repos, ou de sanatorium. C'est Noël et il fait anormalement chaud. Le directeur, Roote, et ses adjoints, Gibbs et Lush, s'entretiennent sur les affaires en cours. Abus de pouvoir, abus sexuels, alcoolisme et incompétence généralisée jouent à saute-mouton.

Hot House est écrite dans les années 50, Harold Pinter est encore à l'université. C'est une pièce de jeunesse, particulièrement riche et débridée. Le carnage final est presque délirant ; Pinter se gardera bien, par la suite, d'user de telles extrémités narratives.

Ici rien ne change, rien ne doit changer. La vie de cette maison est rythmée « depuis des temps immémoriaux » par des dizaines de fêtes et de cérémonies traditionnelles. Noël marque le passage d'une année à l'autre et les cycles s’enchaînent, mais le temps n’existe plus. Pourtant « il est en train de se passer quelque chose ». Pinter évoque, à travers la confrontation Roote-Gibbs, un changement d'époque. Deux générations s'affrontent, qui prétendent exercer leur pouvoir différemment. Ou plutôt qui développent deux discours différents pour le légitimer. Roote l'Ancien prophétise depuis son trône. Il connaît le passé, donc il connaît l'avenir. Ses récits sont de nature biblique, il gouverne au nom des pères. Il entretient la légende mythologique du « Fondateur » dont il est le descendant direct. Gibbs, le mathématicien, l'expert, le futur technocrate, vaut par sa précision, son sang froid, et l'attention qu'il porte aux chiffres.

Hot House nous montre la victoire en marche du second. Qui sait quoi ? Qui entend quoi ? Les micros sont partout - et sacrés - mais certains ne sont au courant de rien. Celui qui sait a le pouvoir. On passe son temps à chercher, véhiculer ou dissimuler des informations. Qui veut quoi ? Que doit-­‐on vouloir ?

Hot House est le spectacle d'une société qui aliène, qui contrôle jusqu'aux désirs de ses membres, et transforme les individus en agents. Ce que les hommes doivent vouloir, c'est la perpétuation de l'ordre établi.

« Et soyez contents... »

Avec Etienne Durot : Tubb / Lobb, Basile Lacoeuilhe : Lush, Jean‐Christophe Legendre : Roote, Antoine Reinartz : Gibbs, Loïc Renard : Lamb et Anaïs Thomas : Cutts. Traduction et adaptation : Loïc Renard, Costumes : Camille Aït Allouache.

L’Enfant froid
Texte Marius von Mayenburg mise en scène Stéphane Benazet
1h20 sans entracte, à partir de 12 ans

L'Enfant froid se passe dans le monde de la classe moyenne européenne : il y a Papa et Maman, qui ont de l'argent et veulent le garder pour eux, leurs deux filles, Lena la rebelle et Tine la dévergondée, et leurs amants respectifs, Johann, qui confond toujours Lena avec une certaine Melanie, et Henning, qui aime exhiber son sexe dans les toilettes des dames. Sans oublier Werner et Silke, un couple accompagné d'un enfant dans un landau...

Au commencement, ils se croisent dans un bar à Berlin.

Il y a Lena, la jeune femme rebelle, lassée du conformisme de son père. Elle cherche désespérément une lueur dans ce monde austère, quitte à embellir la réalité... Il y a Tine, sa soeur, qui en a assez d'être la petite dernière. Elle veut se frotter au monde des adultes. Charnellement. Il y a Papa, obnubilé par l'argent. Il a gagné sa vie péniblement. Il ne le dit pas mais il rêve de voyager. Un jour peut-être... Il y a Maman, qui vit dans l'ombre de Papa. Elle aussi, elle aimerait découvrir le monde. Oui mais... sans Papa. Plus loin, se trouve Henning, un jeune homme naïf et gentil. Il aimerait avoir une vie normale. Malheureusement il ne peut s'empêcher de se masturber en écoutant des femmes faire pipi. A côté d'eux, il y a Werner et Silke, un couple de trentenaires accompagné d'un enfant. Werner est un bon père, il s'occupe bien de sa fille. Trop peut-être. Silke, elle préfère boire. Beaucoup. Elle aspire à une autre destinée. Peut‐être qu'elle n'a pas exactement la vie dont elle rêvait...

Tous essaient d'exister, essaient de parler, essaient d'avancer.

Et puis, il y a cet enfant, qui les observe. Mais lui parviendra‐t‐il à devenir ce qu'il souhaite ? Sera-t‐il plus chaleureux que le monde qui l'entoure ? N'est-il pas déjà froid ?

Avec Logan de Carvalho : Werner, Laurent Deve : Henning, Amélie Esbelin : Silke, Delry Guyon : Papa, Anaïs Harte : Lena, Sophie Le Cam : Tine, Côme Thieulin : Johan, Marie Thieulin : Maman. Traduction : Laurent Muhleisen. Scénographie : Sébastien Heurtier, Création Lumière : Marc Cixous.

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Informations pratiques

Théâtre 13 - Bibliothèque

30, rue du Chevaleret 75013 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Bibliothèque François Mitterrand Restaurant
  • Métro : Bibliothèque François Mitterrand à 288 m
  • RER : Bibliothèque François Mitterrand à 170 m
  • Tram : Maryse Bastié à 336 m
  • Bus : Bibliothèque Rue Mann à 163 m, Bibliothèque François Mitterrand à 205 m, Oudiné à 302 m, Bibliothèque Francois Mitterand Gare à 306 m, Bibliothèque Chevaleret à 307 m, Regnault à 319 m
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Plan d’accès

Théâtre 13 - Bibliothèque
30, rue du Chevaleret 75013 Paris
Spectacle terminé depuis le mercredi 1er juillet 2015

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