La compagnie L’art mobile a proposé à sept auteurs d’écrire des pièces courtes sur le thème du mariage. Noces est le fruit de ces écritures plurielles.
De mariage forcé en mariage improvisé, c’est le sort d’une vie conjugale qui se joue. Chaque fragment de cette noce aux destins multiples présente autant de rires et de petites cruautés, décalages et démesures, que de grandes méchancetés et tendresses humaines.
Créée en 1994 par Gil Bourasseau et Bruno Cochet, la compagnie promène son Théâtre Portatif de villes en villages à la rencontre du public. La compagnie est en résidence en Essonne depuis 2006.
« La valeur ajoutée à cette réalisation révèle la traduction des rapports homme-femme sans inhibition. Mariage au long cours ou speed-wedding, la robe blanche et le costume trois-pièces édifient dans l’élégance les noceurs et la velléité s’habille sans embarras. » La Théâtrothèque
« Cela donne sept courtes pièces très étonnantes. Si chacune possède son genre, du classique au loufoque, elles dessinent toutes la même chose, une certaine solitude. Leur travail est des plus dynamiques, ce qu’il fallait pour suivre cette farandole sans s’essouffler... » Marie-Céline Nivière, Pariscope
« Les quatre comédiens jouent leurs partitions avec talent. On retient notamment la force comique de Ludovic Pinette – aussi convaincant en barman homosexuel qu’en voisin vicieux et borné. Ce qui n’empêche pas les autres de rayonner. Et de montrer qu’il n’est pas nécessaire pour un mariage d’être pluvieux pour être heureux. » 75020
« C’est tout le côté déraisonnable de ce que nous faisons au nom de l’amour (ou de l’idée que l’on s’en fait) qui nous est renvoyé par Noces. Dans les meilleures trouvailles, on retiendra la prestation comico-désespérée d’Anne de Rocquigny dans Betty c’est possible. » Rhinoceros.eu
« Sur la corde à linge, plusieurs textes certes, mais surtout un joli essaim de comédiens, qui les butinent avec ardeur et dextérité. Suspense garanti, clic clac, la jolie photo de mariage a beau être un cliché, elle n’a pas dit son dernier mot et ces comédiens du Théâtre mobile nous le prouvent avec talent. L’on rit à se fendre l’âme, ça fait du bien. » Le monde.fr
« De ces histoires, on retiendra alors le souci du détail et la bonne humeur qui en découle. Sur le plateau, quatre comédiens (dont l’éblouissant Ludovic Pinette) interprètent tour à tour une mariée empreinte de doutes, un couple pressé de se marier avant la guerre, les copains jaloux qui assistent à la noce depuis le café d’en face… » Time Out
« Gil Bourasseau qui dirige l’équipe artistique de « l’Art mobile » fait des miracles avec trois francs six sous. Il est secondé par Cécile Tournesol, une autre passionnée. Ils sont très doués ! » D. Dumas, Théâtres
94, rue du faubourg du temple 75011 Paris