Spectacle en français.
Tragi-comédie écrite vers 1608, Périclès fait partie du cycle des dernières pièces de William Shakespeare avec Cymbeline, Le Conte d’hiver, La Tempête qui mettent toutes en scène de merveilleuses retrouvailles entre parents et enfants.
Shakespeare a utilisé comme d’habitude des sources diverses : œuvres d’historiens, de chroniqueurs, de poètes et superposé les plans métaphysiques, mythologiques, politiques et sociaux. Dans cette romance, drame mélodramatique et merveilleux, on découvre les péripéties de Périclès, prince de Tyr qui va, comme Ulysse, voyager en Méditerranée et connaître des aventures extraordinaires : menacé de mort parce qu’il a découvert un terrible secret, vainqueur d’un tournoi et heureux marié, il va perdre sa femme en couches pendant un naufrage tandis que sa fille, confiée à des amis, lui est ravie par des pirates qui veulent en faire une prostituée.
Accablé de chagrins, il erre sur la mer pendant que la Reine, qui était juste dans un état cataleptique, est sauvée par des pêcheurs puis devient vestale à Ephèse et que sa fille se fait reconnaître par lui, sage et toujours vierge ! Apprenant par une vision que la Reine est vivante, tout ce joli monde s’embarque pour Ephèse où la famille se retrouve. Enfin Périclès pourra régner à Tyr et goûter les joies du foyer recomposé tandis que sa fille épousera un ancien client de la maison close où l’on prétendait la faire travailler, converti à l’amour plutôt qu’à la luxure.
Par la Compagnie Cheek by Jowl (Londres).
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et le soutien de Laura Pels International Foundation for Theater.
« Spécialiste moderne du génie anglais, Declan Donnellan boucle son cycle des romances tardives (...) avec une transposition audacieuse des aventures du malheureux prince dans une chambre d'hôpital. L'odyssée de Périclès (ramassée en moins de deux heures) est vécue par le patient sur son lit de douleur comme un rêve, un fantasme échappatoire. (...) Avec ses sept comédiens « Frenchy », Declan Donnellan orchestre brillamment ce va-et-vient entre la chambre de soins et les rivages de la Méditerranée ; la déprime d'un homme usé, visité par sa famille inquiète et l'odyssée tourmentée du prince de Tyr. » Philippe Chevilley, Les Echos, 8 mars 2018
je suis déçue, difficile à comprendre ! ce changement d'époque et de lieu toujours dans le même décor avec les mêmes comédiens (qui sont bons) m'a gêné.
une des pires mise en scène que j'ai jamais vu ! le texte est gâché par cette mise en scène sans rapport avec le texte. Je n'ai certainement rien compris mais a entendre les commentaires autour de moi en sortant de la salle je n'étais pas le seul.
époustouflant ! à partir d'une des dernières pièces de Shakespeare ( et pas la meilleure sur le thème de la perte et des retrouvailles) la mise en scène de Donellan est étonnante d'intelligence au point que dans un décor contemporain vous avez l'impression de voir cette pièce dans un décor du XVIIe
Pour 3 Notes
je suis déçue, difficile à comprendre ! ce changement d'époque et de lieu toujours dans le même décor avec les mêmes comédiens (qui sont bons) m'a gêné.
une des pires mise en scène que j'ai jamais vu ! le texte est gâché par cette mise en scène sans rapport avec le texte. Je n'ai certainement rien compris mais a entendre les commentaires autour de moi en sortant de la salle je n'étais pas le seul.
époustouflant ! à partir d'une des dernières pièces de Shakespeare ( et pas la meilleure sur le thème de la perte et des retrouvailles) la mise en scène de Donellan est étonnante d'intelligence au point que dans un décor contemporain vous avez l'impression de voir cette pièce dans un décor du XVIIe
49 avenue Georges Clémenceau 92330 Sceaux